Une rencontre... fracassante [FINI]

Gekkou, drôle de nom, et pourtant il lui allait à ravire. Une jeune fille aux longs cheveux blanc arpentait les couloirs du lycée Hon'Rai. Ces yeux d'un rouge sang parcouraient les differents écriteaux directionnels. 0 droite dans l'autre bâtiment se trouvait la salle des fêtes.

*Que jamais je n'arpenterais*

A droite la fameuse cantine qui vallait dix restaurant, disait la pub de Hon'Rai.
La pause de midi avait sonné depuis un moment, elle n'était pas encore inscrite et souhaitait visiter avant. Cela faisait déjà trois jours que les élèves faisaient tourner à pleine vapeur leurs cerveaux rêvant des prochaines vacances.
Gekkou commençais à avoir faim, une faim de loup comme on dit. Elle n'avait rien manger le matin et avait passer son temps à ce cacher du regard des autres élèves.
La peur du regard d'autruits lui noua le ventre. Ces cheveux,... ces yeux,... rien de tel n'existait naturellement ici. Et apperement, d'après son cousin, les français sont réputés pour leurs grand sens de la discrimination.
Gekkou ne parlais que quelques mots français et avait renonçer à demander son chemin, et un guide de surcroit.
Elle s'avançais vers la cantine, la cour était deserte. Elle se mis à courir, elle ne sus pas pourquoi, par ce que peut être quelqu'un pouvait la voir derrière l'une des fenêtre de cette école.
Elle tourna à un angle, et puis :

BOUM

L'arrière train sur le sol froid, la main caressant l'affreuse bosse que la cheville sous le choc avait maintenant dans sa chair.

-Aïee. Gomen!

Elle se releva avec difficulté, retombant lorsqu'elle s'appuya sur sa cheville.
Elle leva la tête pour voir la personne qu'elle avit bousculé.

-Gommen'asai...Watashi ha baka desu.

Meian s'était discrètement éclipsé de l'infirmerie, sachant qu'ils allait tous se revoir dans las chambre de Nipalie, très bientôt.... Elle avait un petit creux et donc se dirigeait vers la cantine, profitant de l'horaire ou y a peu de monde.
Elle réfléchissait a tout ce qu'il s'était passer, et elle avait prétendu une affaire importante pour s'éclipser, elle espérait qu'Ilhuin en ferais de même. Quand on voyait le regard que Nipalie porte à Artemis, y a pas à se poser de question...

*Alalala, j'espère juste qu'il lui brisera pas le cœur...*

Alors qu'elle passait à un croisement de chemin, elle percuta quelqu'un

BOUM

Elle n'avait jamais vu la fille qu'elle avait cogner qui était par terre a présent.

*Une nouvelle, encore!*

-Aïee. Gomen!

*Une japonaise? Simpa*

Alors qu'elle se relevait, Meian l'observa
De long cheveux blanc, couleur plus qu'improbable, mais moins que la couleur de ses yeux, qui étaient rouge sang. Très bizarre, mais bon. Elle portait une tenue typique des japonais.

*Mes yeux sont bien plus bizarre* se dit Meian en souriant.

Alors qu'elle levait la tête vers Meian, la fillette parla:

-Gommen'asai...Watashi ha baka desu.

-Betsuni. Li desu. Anaka wa daijobu desu ka? Eto... Meian Desu. Anata wa dare? Doko ikku no?

La jeune fille la regarda avec des yeux ronds.

*Elle ne s’attendait pas a quelqu’un qui parle japonais*

Puis, se reprenant, Elle se mit a parler…

Cette fille avait de courts cheveux brun avec des reflets violets avec le soleil. Rien d'anormal. Une tenue simple et pourtant si sophistiqué. Rien d'anormal. La seule chose étrange qui nous liais, c'était leurs yeux. L'une d'un rouge sang, l'autre des yeux vairons. L'un bleu, l'un vert. En s'approchant un peu Gekkou sembla aperçevoir des lettres, mais la jeune fille la ramena à la réalité.

-Betsuni. Li desu. Anaka wa daijobu desu ka? Eto... Meian Desu. Anata wa dare? Doko ikku no?

Rien d'anormal, Gekkou comprenait, elle allait répondre normalement. C'est alors que cela fit tilt dans sa tête.
Elle venait de comprendre parfaitement une française, une française qui venait de parler la langue natale de Gekkou.
D'abord de gros yeux ronds, puis un large sourir. Le feu aux joues elle s'éforça de parler du mieu possible.

-Eto... Je Gekkou Satsubatsu être. Sa va je et tu?

Malgrès que son français ressemblais plutôt à la plainte d'un chat s'éttoufant, avec un peu de concentration on devrait s'y retrouver [lol].
Puis après avoir longement réfléchis à commen ce tournais cette phrase elle répondit :

-Tu parler japon comme je? Pardon je Japon venir. Il est trois mois depuis.

Gekkou s'empourpra. Elle aida Meian à se relever puis s'inclina en répétant, en japonais cette fois, ses sincères excuses.
Soudain ce fut l'explosion dans sa tête.

*Non pas d'amis... Si j'en ai je devrais être leurs esclaves... si j'ai une amie, elle va me tapper, me traiter de chienne et me traiter comme tel... NON!*

Gekkou affichait un air terrifié. Reculant, les jambes tramblantes elle s'éloigna de Meian.

*Pas donner ma confiance à l'éspèce humaine!*

C'est alors qu'elle se retourna, préparant l'impulsion sur sa jambe droite qui lui donnerais l'action la plus lâche d'une proie à un prédateur : la fuite.
Quelque chose l'a retint pourtant...

Mort de faim, Ilhuïn était enfin sortit de sa chambre et se dirigeait d'un pas mal assuré vers la cantine. *Comme quoi, rien ne vaut l'alcool pour oublier ses soucis !* Croisant un surveillant, il se ressaisit soudainement et le pion ne parut rien remarquer. A peine il avait passé le coin qu'il se relacha et continua à marcher en titubant. Quelque seconde plus tard, il passa devant le lieu ou l'affrontement entre les deux loups avait eu lieu. Il ne restait aucune de trace, ni de sang, ni rien. *Il y a vraiment quelque chose de bizarre ici*, se dit il en poursuivant son chemin. Après une dizaine de rencontres imprévues pour lesquels il se ressaisit sans faute *Je suis champion du monde du contrôle de soi !*, il arriva enfin a la cantine. Il inspira à fond, de façon à être prêt à affronter le monde mouvant dans lequel il évoluait, et poussa la porte. A peine entré, il rentra dans deux élèves qui voulaient eux sortir et faillit les faire tomber. *Décidemment, heureusement que je bois que pour des circonstances exceptionnelles. Quel balourd je ferais sinon* pensa t'il en s'escusant. Il s'avança vers le self et prit un plateau. Il se servit un repas copieux et rejoignit ses amis à une des tables. De nouveau plongé dans des pensées moroses, il répondit de façon évasive à leurs questions sur les évènements de la matinée, bien que à son grand étonnement, ces questions ne concernaient que la fille blessée et la bataille entre les deux animaux. Il finit rapidement son repas et repartit dans la cour pour chercher l'étrange fille/loup. A l'entrée, il vit que le corps du concièrge avait lui aussi disparut, et que quelqu'un d'autre occupait son bureau. *Quelqu'un se donne vraiment du mal pour qu'on oublie les évenements.* En tournant un angle, il vit deux personnes discuter. Il reconnut rapidement Meian, la fille/loup. Mais l'autre semblait encore plus bizarre que les deux autres filles qu'il avait vu aujourd'hui. Elle avait d'étranges cheveux du blanc le plus pur qu'il n'avait jamais vu, et deux yeux d'un rouge flamboyant. Malgres ces particularités, elle n'était pas dénuée d'un certain charme. Au contraire. Elle paraissait tendue, comme sur le point de partir. Ilhuïn s'approcha et lança :
- Bonjour mesdemoiselles. Je suis Ilhuïn Alinsor et je n'ai pas l'honneur de vous connaître, dit il à l'adresse de la charmante fille aux cheveux immaculés. A voix basse, de façon que seule Meian puisse l'entendre, il ajouta : Il faut qu'on parle !

Elle fit un large sourire:

-Eto... Je Gakkou Satsubatsu être. Sa va je et tu?

Bien qu'elle avait du mal, cette gekkou faisait ce qu'elle pouvait pour réussir a parler français, en utilisant les structure de base japonaise. Elle poursuivit:

Tu parler japon comme je? Pardon je japon venir. Il est trois mois depuis.

Soudain, la petite s'empourpra.

*Très timide*

Elle aida tant bien que mal a lever meian, toujours a moitié au sol, en répétant encore une fois ses plus plates excuses en japonais. Soudain, son expression se modifia pour un immense dégout. Puis, elle se mis a trembler, remplaçant son dégout par une peur tout aussi grande, et commença à s'éloigner de la gardienne.
A ce moment, elle se retourna et banda sa jambe, sur le point de partir en courant. Meian comprit enfin son problème.

-Sorenara kami-sama udai itsukushimu* , okami kusai itsukushimu. Gomen ne.
[Si les dieux chérissent notre monde*, les loups chérissent l'amitié. Je te demande pardon.]

Même si les paroles étaient bizarre, à l'expression de Gekkou Meian sut qu'elle avait eu raison de dire sa. Jamais aucun dicton n'a dit sa, mais pourtant le sens sautait aux yeux. La gardienne offrait rarement des paroles comme telles, mais elles faisaient souvent cet effet.
Elle touchait le cœur de la personne abordée.
Alors, Gekkou se ressaisit, et ouvrit la bouche...

C'est alors qu'Ilhuin arriva, et salua les deux jeunes filles:

- Bonjour mesdemoiselles. Je suis Ilhuïn Alinsor et je n'ai pas l'honneur de vous connaître, dit-il a l'adresse de la japonaise.

Il se pencha alors vers meian et lui chuchota:

-Il faut qu'on parle !

Alors, meian prit sa décision tout de suite. Elle s'excusa auprès de la jeune fille:

-Gomen, watashi gumi saru. Sayounara.
[Désolée, je dois partir. Au revoir.]

Puis, se tournant vers Ilhuin, elle dit:

-Je dois chercher quelque chose dans ma bibliothèque. Je te rejoins devant la chambre de Nipalie, la fille de tout à l'heure. Ne rentre pas avant que je sois là.

Avant qu'il ait eu le temps de poser sa question, Meian avait disparu, le laissant seule avec la japonaise encore sous le choc des paroles de Meian.

Quelques couloirs plus tard...

*Elle a une âme de loup, c'est certains. Maintenant, il faut savoir quel sorte de loup...*

Devenu louve blanche immaculée, elle se coula vers sa pièce cachée.

[*Pour la phrase que Meian avait dit en japonais, par rapport aux dieux, c'est car dans le Japon, les croyance portent a croirent que les dieux (les kamis en japonais) veillent sur les humains car ils tiennent a eux. Voilà le pourquoi du comment j'ai eu cette idée ^^]

Une phrase, une seule. Gekkou n'aurais jamais penser s'arrêter pour une chose aussi dénué de sens pour elle. Mais quelque chose dans son âme remua. Quelque chose d'indistinct.
Gekkou choisis de répliquer, demandant ce que cette jeune fille voulait dire par là, par cette phrase qui a bouleversé son coeur, mais un jeune homme arriva.
Gekkou recula dans la fine ombre du mur, laissant les deux personnes parler. Elle n'avait rien compris. Seulement que lors ce que le jeune homme avait ouvert la bouche ce fut une odeur d'alcool qui monta aux narines de Gekkou. Une envie de vomir la submergea.
Puis ce fut un nouveau choc. La jeune fille, Meian allait s'en aller. En temps normal Gekkou s'en serait moqué, ce n'était qu'un chose appelé humain qui détruisait tout, les arbres, la vie et les coeurs. Mais ce fut une énorme tristesse qui l'envahis. La solitude aussi.
Une voix tremblante s'éleva :

-Je veux ne pas seule être... mais toi être mauvaise. Tu humaine être.

Les larmes montaient. Elle ne faisait pas trop attention au jeune homme. Et avant de vouloir une nouvelle tentative de fuite, elle annonça tout bas :

-Gekkou... Gekkou Satsubatsu être.

Elle lacha enfin une des larme qui lui brûlait les yeux.
Elle ne supportais pas les humains, l'éspèce humaine. Elle avait fait trop de mal. Lui avait fait trop de mal...

Elle n'a pas à s'enfuir, car on allait la laisser seule, elle attendis juste alors d'enttendre des pas s'éloigner...

Meian dit une phrase à l'autre fille dans une langue qu'Ilhuïn ne connaissait pas :
-Gomen, watashi gumi saru. Sayounara.
Il connaissait le dernier mot et en déduis que Meian avait parlé en japonais. Elle se tourna ensuite vers lui et lui dit :
-Je dois chercher quelque chose dans ma bibliothèque. Je te rejoins devant la chambre de Nipalie, la fille de tout à l'heure. Ne rentre pas avant que je sois là.
Avant qu'il puisse hocher la tête pour montrer qu'il était d'accord, Meian disparut de sa vue, le laissant seul avec la jeune japonaise. Il pensa que ce pouvait être une bonne occasion de faire connaissance et se tourna vers elle au moment ou elle disait :
-Je veux ne pas seule être... mais toi être mauvaise. Tu humaine être.
Ne comprenant pas ces paroles, il lui jeta un regard d'incompréhension mais elle enchaîna :
-Gekkou... Gekkou Satsubatsu être.
Ilhuïn tenta d'engager une conversation :
- Tu t'appelles Gekkou ? Enchanté, moi c'est Ilhuïn, répéta t'il.
La fille semblait génée et il dit tres vite :
- Ho pardon ! Je crois que j'ai un peu trop bu, dit t'il avec un sourire contrit. Ne le dit pas au personnel du lycée, chuchota t'il.
Mais la fille ne lui faisait pas attention alors il s'éclipsa en se demandant pourquoi elle pleurait.

[Bon j'ai pas réusis à faire passer le bon message mais c'est pas grave. RP fini. J'ai jamais fait un rp aussi court XD.]

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