Première apparition à Hon'Rai {Libre}

j'avançais le long des couloirs d'un pas determinés. Mes yeux d'un vert éclatant observaient la cours et les portes des salles de classe.
Les couloirs étaient vide à cette heure ci mais je restais sur mes gardes.
Quelques couloirs plus loins une jeune fille faisait la sentinelle pour moi. Une humaine qui m'apréciais, beurk!
J'était sur Terre, et j'étais en quelque sorte chez moi, je suis en partie humaine et Meian n'a pas le droit de me refuser cette véritée.
En bref, je visait l'infirmerie.
Une de mes ennemie était l'infirmière. La porte était là. Serrant de ma main gauche mon fourreau où trônait ma fidèle épée Yasatsubatsu, j'entrais.
L'infirmière me lança un regard froid et se mis sur ses gardes. Elle soignait l'égratignure d'une jeune fille.
Elle se r'assis et continua à soigner la jeune fille au regard songeur.

-Belle balafre, Elia.

Je regardait derrière la fenêtre, pensive.

-Elle guerrira, mais j'ai besoin d'aide pour la soigner.

L'infirmière souris à la jeune fille, fis rapidemment un pensement, lui fit un mot et la renvoya dans sa classe.

-Je n'allait pas la manger tu sais. Dis-je d'une voix tendre. Je sais que tu ne me fais plus confiance Sarah, mais ici je suis humaine et élève à ce lycée. S'il te plait.

L'infirmière rigolais. Autrefois on s'aimait bien. Il arrive même que j'aille lui parler. Bien que l'ont soit en guerre c'est le seul lieu et la seule personne a qui je peux me confier sans que l'autre côté ne le sache.

-Tu serais capable de me tuer ou de tuer cette petite pour m'influencer.

Je souris tristement.

-C'est vrai.

Elle perdit tout sourir, toute joie et tout rire de son visage. Elle alla chercher ce qu'il lui fallait et commença à soigner ma plaie qui tâchait mon écharpe en peau de renard blanc, ou plutôt, d'hybride de renard blanc.
L'infirmière le remarqua. Elle grimaça.

-Sadique! Et je suis encore gentille!

Je souris.

-Ne fais pas attention, c'est une personne qui nous avait rejoins et qui voulait tuer l'un des vôtre alors qu'on le lui avait interdit par le biais de l'autre côté.

Sarah me regardais pensive, elle avait son petit coeur tout brisé je le savais. Maintenant allais venir la question que je redoutais, mais que j'attendais.

-Tu n'est pas venus pour une simple balafre. Qu'est ce qu'il y a?

Je soupirais, mes yeux brillaient de tristesse.

-Je dois tuer Meian, mais je l'aime, c'est comme une soeur pour moi. Et je me deteste de devoir révéler mes sentiments à un ennemis, à toi! Je sais que je peux te faire confiance pour ça, mais je me deteste. Je me deteste par ce que je suis humaine et que ses sales sentiments me rongent!

Je m'efforcer de ne pas m'affaiblir devant elle mais Sarah avait le chic d'agir comme une mère, et je me conduisait toujour comme son enfant. De tout ma vie de traîtresse humaine et de sbire à l'autre côté, ici était le seul endroit où je m'autorisais à être une simple personne faible.

-Tu sais, je ne te dirais pas que ses sentiments sont positifs. Tout ce que je peux te dire c'est de suivre ta voie, même si ce n'est pas toi qui l'ai choisi. Je suis là pour que tu deverse ta peine et que tu ne change pas ta voie pour celle de la mort. Même si tu n'est que mon ennemie. Voila c'est soigné.

Elle me souris. Je ne dit rien. C'est alors que j'entendis des pas, je me relevais et repris conscience que j'étais une personne noire, avide de pouvoir et que mes ennemis étais tous ici, dans ses bâtiments.
L'infirmière ne bougeait pas, elle avait fait son devoir, me soigner, mais si quelqu'un, de n'importe quel clan, savait pour cette conversation, nous deux serions tués.
Les pas s'arrêtaient devant l'infirmerie.
Un mauvais presentiment m'envahi.

-Rentre! Grognais-je.

Je sortit des cours groggy, sans aucune joie que la journée fut terminée.
Les cours était encore une fois passé avec une lenteur exaspérante, mais en sortant je me sentais encore moins bien.
J'avais l'impression que j'allais tomber dans les pommes.
Je marchais en me tenant à quelque chose dès que je le pouvais, et je tomba plusieurs fois.
À un moment, je ne vis pas un banc qui se dressais sur mon chemin, et je tomba dessus avec une 'superbe' gamelle.
Des personnes se moquèrent, tandis que d'autres venaient m'aider.
Je les ignoraient tous, et me dirigea vers l'infirmerie.
J'arrivais d'un pas lourd, des bruit de voix venaient de l'intérieur mais je n'arrivais pas à comprendre un traitre mot.
Une voix assez agressive m'accueuilit alors, m'ordonant d'entrer.
Ce que je fis, en faisant une entrée assez bizarre.
J'ouvris la porte, et mes jambes se dérobèrent soudain sous moi, et quelqu'un me rattrapa.
Je vis alors des gouttes de sang sur le sol, et au bout de quelques secondes je compris que c'était le mien, je m'étais surement ouverte en tombant avant contre le banc.
De mon dos coulait du sang en abondence...

-Je ne me sens pas super bien, je ne sens plus rien sauf mon dos...

L'odeur de sang me piquait les narines. Je perçus en elle un bon potenciel de guerrière, mais trop faible pour l'exploiter.
L'infirmière la rattrapa au vol.
Je la poussait, attrapa la fille et l'allongea sur le ventre sur le sol en lui ordonnant de ne pas bouger.
Ce n'était qu'une humaine mais si je pouvais la faire venir dans nos rang cela changerais beaucoup de nos récentes recrues qui ne savant même pas mordre.
Je penssais la plaie après l'avoir désinfecter. J'appuyais sur le dos de la jeune fille en superposant des servietes au fur et à mesure que le sang s'écoulait. L'infirmière appellait les urgences.
Est-ce que je faisait cela pour moi et l'AC seulement? Non, j'éprouvait des sentiments de peine envers les êtres humains.
La fille allait mieu car le sang s'arrêta de s'écouler au fur et à mesure des secondes.
Les secours arrivèrent et la soignèrent sur place.
Quand ils furent partit l'infirmière me demanda de partir mais je voulus rester.
Esperant une minute de lucidité je murmurais à l'oreille de la jeune fille :

-Je te promet pouvoir et respect, dans le monde que je peux t'ouvrir tu seras respecter. Nous sommes soudés et pouvons compter les uns sur les autres. Rejoins moi. Je m'appelle Elia.
J'attendis une quelconque réponse, un q
uelconque geste.

[dsl dois éteindre peux pas faire trop long]

Un autre fille poussa l'infirmière qui m'avait rattrapé, me posa au sol sur le ventre tout en me disant de ne pas bouger

*Comme si je pouvais*

Elle désinfecta mon dos, sur une assez grande largeur et longueur, et imaginer la taille de ce truc me faisait peur.
Les secours arrivèrent, mais apparemment pas besoin de m'emmener dans un hôpital.
Tant mieux.
Soudain, alors que l'infirmière demanda à la jeune fille qui m'avait soigné de partir.
Cette dernière me chuchota alors à l'oreille:

-Je te promet pouvoir et respect, dans le monde que je peux t'ouvrir tu seras respecter. Nous sommes soudés et pouvons compter les uns sur les autres. Rejoins moi. Je m'appelle Elia.

J'étais effrayée, sceptique, étonnée, mais surtout, un souvenir me venait à l'esprit, je ne sut pourquoi.
La fille que j'avais vu ce matin.

-Que voulez-vous dire? de quel monde parlez-vous?

Je me relevais difficilement, contre tous les ordres de l'infirmière, et sortit avec cette Elia en lui disant que sa irait.

Un sourir aux lèvres je sortit, accompagné de la jeune fille. Je me retournait à la dernière seconde et vit le visage de l'infirmière pétrifié d'horreur.
Bien sur qu'elle était dégoutée de mon geste, une fille qui a faillis y passer se retrouvera peut être dans un clan contre qui elle se bat.
J'était dans un sens une traîtresse oui, une personne méchante, oui, egoiste? pas vraiùent, j'agis pour l'autre côté, pas pour moi.
Enfin bref, la jeune fille me suivis, j'optais pour une salle de classe vite. Je m'assis sur la table du prof. Une table pour élève se trouvait devant moi.
Je tenait toujours ce sourir de satisfaction.
Ma voix était forte, directe et emplie d'émotion :

-Tu m'as suivit, que désires-tu au plus profond de toi? Serais-tu prête à abandonner tes amis, ta famille, ce monde pour un à ton image?

Je souris, encore et toujours. Sauf que cette fois mon côté méchante et sadique ressortis, même si je ne connaissait pas cette fille, daprès ses yeux, ses postures, je peux en dire qu'elle est fragile niveau social, je devait la transformer en guerrière ou en charpie.
Si elle n'a aucun lien affectif, contre son rêve, quel qu'il soit, elle me rejoindra. La nature humaine veux qu'ils soient manipulablent et surtout, désireux de pouvoirs.
Sauf certains stupides comme ma fausse soeur, Meian.
Cette image me revint, claire.
Et si Meian avait déjà attirer cette fille dans son camp? Et si c'était une espionne ? Non, cette blessure a été faite en tombant, et elle n'a rien au fond de ses yeux me disant une quelconque haine envers moi.
Je vais rester sur mes garde néamoins, j'ai fait trop d'ereures dans l'ac aujourd'hui avec les nouveaux spécialistes.
Bref, passons.

Nouveau sourir, plus calme et chaleureux.

-Rejoins moi, tu recevra force, amour, respect, pouvoir, et de vrais alliés! Un autre monde parrallèle t'ouvre ses portes!

La main sur le manche de mon épée je lui offrit un regard tendre qui cachait une satisfaction qui rendra ma journée pas si déffectueuse que ça.

Je suivis cette 'Elia' dans une salle de classe vide.
Elle s'assit sur le bureau des profs, quand à moi je me mettais face à elle entre l'assis et l'accoudé, attendant ses explications.

-Tu m'as suivit, que désires-tu au plus profond de toi? Serais-tu prête à abandonner tes amis, ta famille, ce monde pour un à ton image?

Elle fit un sourire, mais ce sourire paraissait cruel, sadique.
Un frisson me parcourut.
Avais-je bien fais de venir?
Mais....
Que voulait-elle dire par 'un monde à ton image', ou encore, pourquoi je devrais abandonner mes proches? (Bien que je n'en ai pas)
Elia semblait perdue dans ses pensées, quand elle retourna son regard vers moi, mais un nouveau sourira naquit, qui avait l'air déjà plus calme et gentil que l'autre.

-Rejoins moi, tu recevra force, amour, respect, pouvoir, et de vrais alliés! Un autre monde parallèle t'ouvre ses portes!

Elle avait la main poser sur une sorte d'arme poser dans son dos, et m'offrit un regard cette fois presque... Tendre?!
A croire qu'elle avait un caractère cacher

-Je n'ai aucune famille, et je ne cherche pas d'amis. mais quel monde parallèle?! Si vous ne dégagiez pas cet aura, je vous aurait traité de folle. Un des choses qui m'intéressent est que les humains se rendent compte de leur stupidité, ils détruisent leur propre mère, la Terre. Si vous pouvez m'aider à faire sa...

Je m'attendais à ce que ma voix tremble, mais au lieu de sa j'affichais une profonde assurance.
Qu'avais-je à perdre de toutes façon?
Ma vie est pourrit et n'a aucun sens donc...

-J'accepte de te suivre.

Le tutoiement était venu tout seul.
Surement car je sentais que d'une façon ou d'une autre, je serais presque lié, après ce qui va se passer.
Intuition féminine

Je souris, comme une soeur je dirais.
Comme quand j'ai connu Meian.
Mon coeur se serra.
Soupir.

-Ce monde s'appelle l'autre côté et affiche une mine pitoyable, car les humains, appelés spécialistes nous font la guerre depuis des générations, au lieu de tuer seulement leur mère, ils détruisent aussi celle des autres.

Mes yeux brillaient, de peine.

-Dans ce monde tu deviendras puissante, tu changera physiquement et tu aura des pouvoirs. Pour pouvoir le protéger. Là-bas nous sommes soudés et les traîtres meurent ou sont exilés. Tu pourras toujours vivre sur Terre. Sache que je serais toujours là, car nous sommes en danger. Les humains veulent notre extinctions, nous nous laisserons pas faire et nous leur montrerons à qu'el point ce sont eux les monstres destructeurs.

Je ne souriait plus du tout. Je lui prit ses mains dans les miennes.

-Je peux compter sur toi? Aquarelle?

J'avait l'allure d'une soeur. D'une guerrière prête à tout pour son monde, ses idéaux, et sa soeur. Sauf que ma soeur c'était Meian, Annaëlle aussi. Mais Meian était ma petite soeur. Enfait, j'évait la même allure que la fois ou on avait prêté serment de protéger la Terre de l'autre côté et ses monstres.
Hors les monstres c'était nous. Nous faisions la guerre a des êtres qui vivaient en paix sur leur monde et qui vivait un peu sur le notre. Nous avons donner une face destructrice à notre ennemis, qui n'était qu'une victime de notre folie.
Suis-je vraiment une traîtresse?
Les mots d'Aquarelle me sortirent de mes songes.

Elle sourit, mais quelques secondes plus tard son sourire se mua en grimace.

-Ce monde s'appelle l'autre côté et affiche une mine pitoyable, car les humains, appelés spécialistes nous font la guerre depuis des générations, au lieu de tuer seulement leur mère, ils détruisent aussi celle des autres.

Les yeux de cette fille brillait sous la lumière, lui donnant une drôle d'allure. Mais elle était belle, impossible de le contester.

-Dans ce monde tu deviendras puissante, tu changera physiquement et tu aura des pouvoirs. Pour pouvoir le protéger. Là-bas nous sommes soudés et les traîtres meurent ou sont exilés. Tu pourras toujours vivre sur Terre. Sache que je serais toujours là, car nous sommes en danger. Les humains veulent notre extinctions, nous nous laisserons pas faire et nous leur montrerons à quel point ce sont eux les monstres destructeurs.

Je la comprenait parfaitement. Comme si elle réalisait mon rêve d'un monde qui est respecter par les personnes et animaux le peuplant, le fait d'être en une 'communauté'. Tout ce dont j'ai rêver mais cela faisait bien longtemps que je ne croyait plus à ce rêve.

-Je peux compter sur toi? Aquarelle?

Sa gravité lui donné un visage mature, qui a beaucoup soufert.
Pluseurs secondes passèrent, ou la fille était perdue dans ses pensée.
Finalement, je rompis le silence:

-Oui, tu peux compter sur moi. Je te promets de t'aider à protéger cet Eden menacer par cette race si stupide, les humains. C'est ce que je veux faire, au fond de moi je le sens.

Je lui sourit, de la même façon qu'Elial'avait fait juste avant.
Enfin quelqu'un sur qui compter, qui ne me trahira pas.
Et la race humaine, aussi nombreuse que vantarde et idiote, était enfin menacer.
Ils vont prendre conscience du mal qu'ils font à la terre, une bonne fois pour toute.

J'étais satisfaite.
Soudain j'eus une pensée, et si cette aquarelle pouvais faire quelque chose? Surement!
M'éclaircissant la voix j'attirais l'intention d'Aquarelle.

-Aquarelle, petite sœur, peux tu faire quelque chose pour moi? Enfin, deux choses...

Après avoir attendus sa réponse je continuai :

-J'aimerais que tu aille voir une certaine Meian, et que tu lui apporte un présent.

Ce présent seras quelconque, seul le message que j'y ajouterais sera vraiment la raison de ce cadeau. Je vais lui présenter indirectement ma nouvelle petite sœur et lui donner rendez-vous sur l'AC. Une guerre se prépare je le sens.

Aquarelle me sortit de mes songes assez rapidement, j'adorais cette petite.

-Une dernière chose, Meian et ses amis, Nipalie, Artemis, et un autre garçon sont nos ennemis, fait attention à toi. Je dois préparer ton initiation de l'autre côté.

Elle s'éclaircit la gorge, surement plus pour attirer mon attention que pour un mal de gorge.

-Aquarelle, petite sœur, peux tu faire quelque chose pour moi? Enfin, deux choses...

Petite soeur? Elle me considérait comme tel?
Je ressentait une profonde amitié pour elle, bien que cela ne faisait pas même une heure que je la conaissait.

-J'aimerais que tu aille voir une certaine Meian, et que tu lui apporte un présent.

Meian? Ce n'était pas le nom de la fille que j'avais livrée ce matin?
Surement, un tel nom ne peux être deux fois dans le même lycée.

-Euh... Avec plaisir!

Je lui devait tout après tout.

-Une dernière chose, Meian et ses amis, Nipalie, Artemis, et un autre garçon sont nos ennemis, fait attention à toi. Je dois préparer ton initiation de l'autre côté.

Là, j'eu un vrai choc.
la fille de tout à l'heure, que j'avais tellement appréciée, une ennemie?
Pourtant, elle paraissait si gentille...
Mais ce n'était pas le moment de cogiter.

-D'accord Elia, dis-je, malgré mon envie de savoir ce qu'elle allait donner à cette fille, j'avais appris à ne pas me mêler de ce qui ne me regardait pas. Comment saurais-je quand ce seras bon pour mon... apprentissage? Et tu m'apprendras des choses à propos de cet Autre Côté? Et comment j'irai là-bas?

remarquant que, malgré mon calme, je devais être exaspérante comme un enfant de cinq ans qui découvre le monde en posant mille et une question, je me rattrapa:

-je suis désolée, tu n'es pas obligée de répondre à tous, désolée de te noyer de question...

Je lui sourit en symbole de réconfort j'ouvrit mes bras tout en disant des paroles claires et pleines de vies :

-Je reviendrais vers toi petite soeur, et je t'emmenerais voir ce que la folie des hommes nous ont fait subir et tu pourras commencer ton apprentissage à mes côté et auprès de celle de ta nouvelle famille.

Je me levait, alla vers elle pour toucher ses beaux cheuveux longs.
Avec u ton heureuse et une aura dynamique je continuai :

-Je vais leurs annoncer ta venue.

Puis elle me posa des questions. Avec toujours le même sourire un peu faux à mes yeux mais réel néanmois j'y répondit simplement :

-Je viendrait te chercher demain pour ton apprentissage, tu sauras tout de l'autre côté, rien ne te seras caché petite soeur. Commen y aller? Fait moi confiance, ça ne s'explique pas, ça se ressent, tu verras demain.

J'allait annoncer mon départ puis je me ravisairt en voyant un morceau de bandage sortir de sa veste.

-Hum... juste avant,... j'aimerais que nous allions à l'hopital qu'ils puissent s'occuper de ton dos, nous t'avons administrer le minimum, et j'ai peur pour ta santé, je ne veux pas perdre ma petite soeur, jamais. Je te protégerais quoi qu'il en coûte.

Quel beau discour! Tiendrais-je cette promesse?

Elle me sourit, et ouvrit les bras tout en parlant:

-Je reviendrais vers toi petite soeur, et je t'emmenerais voir ce que la folie des hommes nous ont fait subir et tu pourras commencer ton apprentissage à mes côté et auprès de celle de ta nouvelle famille.

Elle se leva et se mit devant moi, me caressant les cheveux là ou ils étaient le plus longs. Elle me dit alors, avec un ton heureux, qu'elle allait leur annoncer ma venue.
De qui parlait-elle? J'étais perdue dans mes pensées, entendant à peine sa réponse à mes questions.

-Je viendrait te chercher demain pour ton apprentissage, tu sauras tout de l'autre côté, rien ne te seras caché petite soeur. Commen y aller? Fait moi confiance, ça ne s'explique pas, ça se ressent, tu verras demain.

Je crut un instant qu'elle allait partir, mais elle dit alors qu'elle préférait aller à l'hopital, qu'elle avait peur pour ma santé et qu'elle ne voulait pas perdre sa petite soeur -moi, réalisais-je-, et qu'elle me protégerais. C'était la première fois que quelqu'un était aussi gentil avec moi, une pauvre fille débile et qui ne voulait parler avec les autres...

Merci, mais sa va, je t'assures. Je ne veux pas t'embêter, tu dois avoir plein de chose à faire, et... Aie!

En parlant, je m'étais avancer et donc j'avais laché mes appuis, et une douleur me brula le dos, je me sentais topmber inéluctablement en avant, voyant le sol se rapprocher dangereusement...

Elia la rattrapa et s'aida d'un appuis sur le bord d'une table pour pouvoir soutenir Aquarelle.
En reprenant sa force d'Elfe elle la souleva et la porta jusqu'à l'extérieur.

-Pourras-tu tenir sur une moto?

Elia avait son permis moto 125 et elle possédait une belle dragstar yamaha customé avec un style lupin. Car elle aimait les loups, les animaux de la Terre. Ce sont ceux qui étaient le plus proche des elfes comme race terrienne.
Elle posa Aquarelle sur la selle. Bien qu'elle avait mal elle n'était pas handiquapé et pouvait, normalement, tenir jusqu'à l'hopital.
Elia donna un casque à Aquarelle qui devrait être impeuprès à sa taille, peut être un peu trop grand puis mis le siens. Elle montat sur la moto et mis le contact. Sans toute fois risquer un PV elle roulait le plus vite possible en direction de l'hopital.
Un medecin pris la jeune Aquarelle et lui mis un baume sur le dos et dit qu'il la garderais une nuit à l'hopital pour surveiller qu'il n'y ai pas d'infection.
Finalement Elia prevint le lycée qu'elle resterais à l'hopital. Il n'y a pas que Meian qui avait le pouvoir sur le lycée. Le principal était le dernier des anciens spécialistes et avait fait la guilde des mercenaire, car plus jamais il ne c'est bettus contre nous, sans pourtant se battre contre les spécialistes, ses frères.
Elia observa la jeune Aquarelle allongée sur le lit blanc, dans la pièce blanche entouré de couloirs blancs. Ce manque de couleur donnait des vertiges à Elia. Un paradis aux senteurs de médicaments, desinfectant et de vieilles couvertures.
Elie ouvrit la fenêtre pour aérer. L'odeur de l'etérieur lui fit du bien, mais elle se pris à penser que l'air de l'AC avait un plus : ils n'avaient pas la polutions et n'avaient jamais acceptés que les spécialistes leur offre la technologie, les transports, la pollution et la folie destructrice.
Aquarelle pris la parole et Elia se tourna vers elle, souriante. Une nouvelle petite soeur? Mais elle ne remplacera jamais Meian....

Aquarelle es-tu toujours là?

[désolée ^^"]

Sa se passa assez vite, Elia me demanda si je pouvais monter à moto, je n'avais pas trop le choix, et je me retrouvais vite sur une moto, avec un casque légèrement trop grand pour moi. Finalement en arrivant à l'hopitâl un médecin m'étendit sur un lit d'hôpital, et me mis un baume sur mon dos. Ce dernier me tiraillait, mais sa allait déjà mieux. Elia aéra la pièce, pendant ce temps, je regardait la pièce, couchée sur le ventre. Il y avait un t-shirt poser sur une commode, surement pour remplacer mon t-shirt noir taché de sang. L'enfilant comme je put, je gardais mon t-shirt noi posé tout près au cas ou je devais partir avant qu'on ait put me le rendre. Alors que j'enfilait mon t-shirt, faisant bien attention à ne pas arracher mon poignard de ses liens après mon bras, je remarquait alors un homme près du mur face à la porte ouverte de ma chambre, qui m'observait. Comprenant qu'il avait vu toute la scène ou je me changeais, je voulut me lever, mais ma douleur dans le dos m'en empêcha, et je ne put que crier d'une voix rauque

-ESPECE DE PERVERS!

Elia se tourna vers moi, et je rougis, balbutiant un 'désolée' alors qu'une infirmière venait voir ce qui se passait, et voyant l'homme face à ma chambre comprit -il devait surement être connu dans l'hopital vu l'expression exéder de l'infirmière- elle ferma la porte de ma chambre. J'étais rouge de honte, ne sachant quoi dire.

Elia se tourna et compris assez vite ce qui s'était passé. Elle sortit tel une tornade et on entendis des bruits de lutes derrières la portes.
Une infirmière hurlait, puis, plus rien.
Rouge de colère Elia rentra dans la chambre.
Soupirant elle dit :

-Il s'en ai mangé une ne t'inquiète pas petite soeur et je leurs ai ôté leurs souvenirs. Ils ne se souviennent pas de ces dernières secondes, et pour le gars je crois que j'y suis aller un peu fort, il ne sais plus pourquoi il est venus ici. Enfin..

Elle alla fermer la fenêtre pour éviter qu'il fasse trop froid.
L'infirmière entra et souris à Aquarelle.

-Vous pouvez sortir, voici vos vêtements, propres et repassés. Mais n'oubliez pas de faire attention à votre dos.

La jeune femme blonde sortit et Elia posa sa main sur l'épaule à Aquarelle.

-Que veux-tu faire petite soeur?

Elia sortit comme une tornade. des bruits de lutte et même un cri se fit entendre, puis plus rien. Moi-même j'étais trop assomé encore pour vraiment comprendre à quel point il se passait rvaiment quelque chose. Finalement Elia revint, en me disant qu'elle avait effacer leurs souvenirs, et même que l'homme qui m'avait regarder me changer ne se souvenait pas pourquoi il était venu ici. Ah carrément ben sa rigole pas.
Elle ferma la fenêtre, et une infirmière arriva avec mes vêtements propre et prêt à etre porter, et me rappela de faire attention mais que je pouvais sortir.

-Que veux-tu faire petite soeur?

-A vrai dire, je ne sais pas trop... Je dois t'avouer que je suis un peu perdu avec tous ce que tu m'as dit...

[dsl pas d'inspi]

[Tu veux que je rep quoi? Tu ne m'aide pas... xD]

Elia réfléchissait. Puis elle soupira en disant :

-Tu veux te promener, voir un ciné, aller au resto,...?

Elle lui souris. Elia était en partie humaine et elle travaillait comme toute personne normale. Elle ne pouvais profiter de sa vie humaine, sa vie sur l'Autre Côté lui prenait tellement... Du coup elle avait beaucoup d'argent. Bon elle n'était pas riche mais avait de l'argent. Et des connaissances. Il n'y a pas qu'elle qui est qu'en partie humaine. Elle se devait de connaître toute les personne anciennement humain qui travaillaient et passaient encore du temps sur la Terre.

-Je connais un bon resto chinois qui fait d'excellents beignets de crevettes et raviolis vapeurs... si tu aime. Ce n'est franchement pas loin et je doit bien dire que j'ai un petit creux.

Et puis c'est une occasion de lui parler de l'Autre Côté... surtout que généralement les clients sont des nôtres.
Beaucoup de spécialistes viennent aussi. Après tout, nous avions fait un pacte pour que les lieux publics hors le lycée - car l'Autre Côté s'y était opposé - soient neutres.

-Tu veux te promener, voir un ciné, aller au resto,...?

A vrai dire, j'avais juste envie de me poser, pour me reposer, et d'en savoir un peu plus sur tout sa. Mais sa dépendait d'elle après tout, je préferais lui laisser prendre l'initiative.

-Je connais un bon resto chinois qui fait d'excellents beignets de crevettes et raviolis vapeurs... si tu aime. Ce n'est franchement pas loin et je doit bien dire que j'ai un petit creux.

-Oui, pourquoi pas! Les raviolis vapeurs, je connais, mais pas les beignets de crevettes. Ce sera l'occasion d'en découvrir un peu plus...

J'aime bien faire des phrases à double sens. Doucement, je me levais et enfila mes vêtement, surmontant ma pudeur, me répétant sans cesse *C'est aussi une fille, c'est pas grave. C'est aussi une fille, c'est.... etc*
Finnalement, nous sortimes de l'hopital, Elia me suivant à mon allure surement bien lente à son gout.

-Désolée pour ma lenteur...

[Je te répondrait plus tard désolé.]

Elia grogna (humainement parlant).

-Ici la lenteur n'est rien, elle est préférable. Dans l'Autre Côté le temps n'est plus, sauf si tu es une ennemie, tu serais morte.

Finalement elle se tournas vers Aquarelle. Elle venait de recevoir un message télépathique de l'alpha des loups garou signalant une attaque, il fallait des ordres. Elia s'assombris deux minutes le temps de donner les ordres et sortit de sa transe pour dire à Aquarelle :

-Que veux-tu faire? Tu choisis.

On continue ou on abandonne?

[Désolée xD J'suis vraiment irrécupérable]

Elia émit un drôle de bruit, en disant:

-Ici la lenteur n'est rien, elle est préférable. Dans l'Autre Côté le temps n'est plus, sauf si tu es une ennemie, tu serais morte.

Alors que je réfléchissais sur la signification de ses paroles, je remarquais qu'elle paraissait étrange, comme en transe, et assez... Sombre? Finnalement elle se tourna vers moi:

-Que veux-tu faire? Tu choisis.

Mais... je venais de lui dire!

-Ben on v....

Quelque chose me propulsa sur le côté, et j'heurtais le mur de l'hôpital, propulser par un être humain qui me semblait étrange... Mais... Mais oui!
Cette personne a des oreilles et une queue d'animal!
Pas le temps de m'attarder, une main se lève, révélant une lame bien brillante.
Tout tourne autours de moi... je ne comrpends plus ce qui se passe, sens à peine ma main aller à une vitesse que je croyais impossible dans ma manche et récupéra mon poignard, bloquant la lame à trois centimètre de mon corps.
L'étrange chose renforce son appuie, et je sens sa lame avancer de millimètre en millimètre vers ma gorge, alors que le vertige est à mes portes...

Sur le coup je ne compris pas. Avant que j'aie pus stopper l'ombre se projetant sur Aquarelle, une chose étrange m'attrapa par la taille et faillis me mordre au cou.
Avec ma grâce elfique je pris appuis sautais en mettant mes mains sur les épaules de mon ennemis et voulus passer derrière elle en passant par dessus elle.
Mais elle fus rapide, trop rapide.
Je humais son odeur pendant qu'elle me mettais une droite bien trop forte pour être humaine. J'avais déjà compris depuis longtemps qu'elle ne l'étais pas.
Une vampire. Une elfe comme moi ne peux presque rien contre ces choses étranges.
Nous étions en territoire neutre, et des spécialistes nous attaquaient. Non, ils ne portaient pas l'odeur de Meian, tout spécialiste doit avoir un contact avec elle. Non cette vampire et ce... cet hybride étaient des vagabonds, envoyé par je ne sais qui.
Mon cheveux se dressèrent quand je vis la lame sous la gorge à Aquarelle qui se défendais du mieux qu'elle pouvait. L'hybride était fort. Je me mis à courir pour aider Aqua mais la vampire m'attrapa le bras.
-Tu te bat avec moi, saloperie d'Elfe.
Je n'appréciais pas sa remarque. Les vampires sont très forts sur Terre, alors que moi j'y perdais mes pouvoirs.
Les Elfes sont une race si pure, qu'elle allait regretter ses mots.
Je dégainais Yasatsubatsu et dansais avec elle. Ma fidèle épée zébrais le corps de la vampire.
Avec cet allongement de mon corps, avec cette arme contenant un âme, j'étais forte, très forte. Assez pour tuer cette vampire.
Je faillis lui trancher la gorge. C'est alors qu'elle réussis à me donner un coup de pied derrière mon genou.
Avec difficulté j'avais réussie à ne pas tomber. Elle souris et je lui lançais mon épée qui allait se figer dans son épaule.
Profitant qu'elle essayait de l'enlever, chose impossible car moi seule pouvait toucher son métal, je me précipitait vers l'hybride.
Pirouette sur ma hanche, coup de pied fatal en plein dans son visage.
-Dégage de là!
Je faisait face aux deux monstres devant moi. Je n'avait plus mon visage humaine, mais un visage ravagée par la fureur. Soit Meian les avait envoyés, soit l'AC me mettait à l'épreuve et j'avais largement dépasser ce stade.
-Qui vous envois?
La vampire ris aux éclats. C'est alors que je vis que mon épée à ses pieds. Mon regard se posa sur sa main, brûlée à vif. Je crus même voir ses os au creux de sa main.
-Mon épée brûle les vampires, cool!!
Mais j'attendais toujours ma réponse!

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