Pardon [Malicia - LIBRE]

J'avançais tel une ombre parmi les ombres... sous un soleil ardent.
J'avais beau avoir pris ma chemise la plus légère, l'avoir entrouverte et avoir pris un de ses ventilateur portables, cette chaleur était étouffante.
J'entrais dans les toilettes des hommes et me remis une dose de déodorant. Je ne sentais pas la transpiration mais le loup. Plus il faisais chaud, plus cet odeur me collait à le peau.
*Dommage que je ne puisse pas appeler le vent comme je veux sur Terre, j'en aurais bien besoin.*
Je sortais. J'avançais vers le coin des prédateurs.
Les lions, les tigres, tous de beaux félins. Leurs marche me rappelais celle des loups garous. Bien que cette race est canine les loups garous on cette grâce féline. Grâce que j'ai encré dans mon sang. Même en copiant les humains mes yeux d'or en fusion, mon corps et ma démarche suscitaient l'envie et le surnaturel.
Je soupirais. Combien de fille et de femmes m'avaient demander de les aider ou mon numéros de portable depuis que je suis revenus sur Terre?
Je sentait mon poignet. L'odeur de loup me collais tellement à la peau que je grimaçait. Une jeune fille me dévisageai. Je me retint de grogner et elle fini par détourner le regard et rejoindre ses amies, rouges de honte.
Je remarquais alors le plan du zoo qu'elle tenait en main.
Je soupirais. Cette ruse m'étais insupportable. Embêter les gens rien que pour les approcher, cela m'irritais.
Finalement je continuais mon chemin et vit l'enclos des coyotes.
Je m'arrêtais. Je souris dans le vide, observant chaque formes qui se cachaient dans les ombres des arbres. Mes yeux étaient tristes.
Je dit pour moi même :

-Oh ma tendre Coyote, où es-tu?

Je fermait les yeux.

-Ma tendre femme Coyote, où es-tu? Loin de moi certes, mais si encré dans mon coeur. Sans te voir je pense à toi. Où es-tu ma tendre Coyote?

Je souris et ouvris les yeux.
Aucune de ses belles bêtes ne ressemblaient à ma Coyote. A Malicia. Non, elle elle avait quelque chose de plus, l'humanité? La douceur?
Je me souvint alors de la nuit où nous nous étions rencontrés. Je grognais tout en souriant à un souvenir aussi beau que douloureux.
C'est alors qu'une odeur de Coyote titilla mes narines. J'inspirai profondément et su tout de suite que le destin se jouait bien de moi. Moi et mon odeur de loup. Eux les coyotes qui se cachaient. Elle, ma douce Coyote.
Le vent tiède me caressa le visage, ce même vent qui m'apportait son odeur.
Le loup en moi se réveilla. Son odeur devint plus forte à mesure qu'elle s'approchait de moi. A mesure que l'odeur de mon loup devenais plus forte.
Dans une voix un peu cassée par l'émotion et le remord je prononçais ce mot qui avait celé ma voix et mon coeur depuis qu'elle s'était enfuie :

-Malicia...

Mon coeur pleurait.

Je marchais depuis plusieurs heures ,sous un soleil de plomb.L'odeur des odures de la ville mélée à la chaleur me donnait envie de vomir ,je cherchais déséspérément un coin de verdure.Je croyais que c'était peine perdue ...

J'avais continuée de marché à travers les rues.Devant moi se trouvait un panneau qui indiquait que le zoo était tout proche.

*Le zoo peut-être un bonne idée...*D'habitude,je n'aimais pas venir au zoo,car je préférait voir les animaux en libertée mais là c'était mon seul échapatoire.Je me dirigeais en direction de l'entrée ,je pris mon ticket et me dirigeais directement vers le jardin botanique.

L'odeur des fleurs masquais mon odeur et celle des animaux.J'étais couchée dans un perterre de fleur rose.En temps normal on avait pas le droit de piétiner les fleurs mais je m'en fichait.Le zoo était presque désert,à croire que la chaleur faisait fuir les gens ,moi j'adorais ça ...

Je remplissais mes poumons d'air et le vent m'apporta une forte odeur de loup mélée à une odeur d'humain...
*Stefan ?Lui,ici ?!...Hum...Non ce n'est pas possible,ca doit ètre qulqu'un d'autre...*

-Tu me manque tellement...Soupirai-je.

Ca devait venir des loup du zoo...Peut-être qu'une petite visite à ces animaux me remonterai le moral ... Non...Au fond de moi je savais qu'une seule chose pourait me le remonter ,seul Stefan...J'aurais voulu le voir- Lui dire que...

.Ne rien lui dire,juste le revoir...

-Pfff ,et puis zut !
Je me levais et me mis a érré dans le zoo ,perdue dans mes songes:

Les coyotes ,les loups et les humaisn trois éspèces si différentes mais si proches.Beaucoup de chose les raproches génétiquement mais de tout les points commun c'est le comportement qui est le plus similaire,mais tant de differences subsiste ...
Le loup a besoins de sa meute ,sinon ,les
loup solitaire deviennent fou à l'opposé le coyote lui vit seul ou en couple ,l'humain lui n'a pas de mode de vie prédéfini il peu s'adapter mais alors quesqui est le mieux ,que doit-je choisir ?

La vrai vie est beaucoup plus dur que ce que je pensais .

(Pfiou,toujours désolé pour l'orthographe.)

Je marchais depuis quelque minutes...J'étais arrivée près de l'enclos des coyotes ,instinctivement je m'étais rendue ici. Près de l'enclos ce tenait un garçon ,il me semblait familier ,c'était lui ,celui qui avait occupé mes pensées pendant des jours et des nuits ,enfin je le retrouvais ...Stefan.

Je ne savais pas quoi dire,il m'avait vue ,il me regardait. Doucement je m'approchais ,d'un voix cassée il prononça mon nom ,cela me donna des frisson...

Je ne pouvais rien dire j'étais totalement pétrifiée...Il était véritablement là ce n'étais pas une hallucination ,je n'en revenais pas. Les larmes se sont mis à couler le long de mes joues.

Ma main glissa le long de sa joue. Je l'admirais avec une tel joie. Mon coeur pleurais.
Les souvenirs d'une nuit me revinrent en tête. Je n'en puis plus, aucun mot ne voulait sortir de ma bouche que j'avais entrouverte. Finalement je goûtais à ses lèvres qui me rappelaient tant de bonnes choses.
Je prolongeais ce baiser en y mettant toute ma douceur, toute mon envie et mon amour. Elle comprendrais le message j'en étais sûr.
J'attendais à tout moment qu'elle me rejette. Mes bras entourèrent son corps en mon corps se pressa contre le siens.
Mes lèvres se détachèrent des siennes. Mon souffle était saccadé. Je murmurais d'une voix de velour :

-Malicia, Oh ma Malicia j'ai tant penser à toi. Je me suis sentis si mal quand tu m'a laisser dans le noir...

Je me mis à trembler.

-En même temps,... on m'a toujours laisser dans le noir...

Je la serrais contre moi. Ma détresse, je la sentais. Elle allait surement partir et me haïr. Mais j'avais tant besoin de ce moment. De retrouver son odeur, de retrouver ma Malicia.
Je passait mon nez sur son cou je grognais d'exitation en sentant son odeur de femme coyotte. C'était son odeur. Elle avait imprégnié mes draps dans lequels je m'étais roulé en boule.. seul.
Ma langue traversa son cou et mes lèvres cherchèrent ses lèvres, et les trouvèrent. Plus rien n'avait d'importance. Je sentais l'odeur de mon propre désir remonter à fur et à mesure que nos odeurs se mêlaient.

Je sentais ses lèvres contre les miennes.Je me pressais plus fort contre lui et passais mes main derrière son cou,je ne voulais plus le lâcher ,m'imprégnée de son odeur ,qu'elle ne me lâche plus .

Je reculais d'un pas en arrière pour pouvoir l'observé il était toujours aussi beau ,il semblait ne plus vouloir me lâcher ,il tremblait
,il me disait que je l'avait laisser dans le noir.
Je l'avais blessé il était aussi chamboulé que moi.

Je me mis a pleurée de plus belle ,je ne savais pas si c'était des larmes de joie ou de tristesse.
J'étais blottis dans le creux de son épaule, une sensation de bien-être et de sécurité me parcouru.
Quand il recommença à m'embrasser ,j'étais au septième ciel.Il était vraiment exciter ,je le sentait .
Moi aussi je le désirais mais je me souvint où nous étions .

En passant par la forêt nous n'étions pas loin de chez moi ...La bas nous pourrions discuter au calme.

-Je n'ai pas de mots pour exprimer à quel point je suis contente de te revoir ,mais viens on n'est pas loin de chez moi.
Je lui pris la main et je commençais à le tirer vers l'arrière du parc.
On pourra parler tranquillement...

Nous arrivions vers une grille ,un obstacle facile pour moi...
Je me mis a courir ,pris appui sur mes deux jambes et je sauta de toutes mes force ,malheureusement pas assez haut mais je saisit une branche
,je fis une pirouette au tour de la branche digne de "Lara Croft" et j'arrivais sur mes deux pied derrière la grille dans la forêt ,je fis signe à Stefan de me suivre ,j'attendais qu'il me montre ce qu'il savais faire !

Ses lèvres douces se décolèrent des miennes. J'essuyais ses larmes. Les miennes étaient celés en mon coeur.
Je fis voler le vent sur notre peau. Assez discrètement néamoins pour éviter d'attirer l'attention.
Puis elle me surpris, je fus heureux quand elle m'invita chez elle.
Je sentais une légère odeur flotter autour d'elle. Je rougis légèrement. Elle me désirais. N'étais ce que cela qu'il y avait entre nous?
Son odeur envahi mes narines et je sentis son cou que je mordillais légèrement. Très légèrement pour ne pas que mes dents ne lui ouvre son cou délicieux.
Nous avancions sur le chemin. C'est alors qu'une grille se dressait devant nous. Je regardait les alentours, personne. Je sortit mes oreilles et ma queue. Je sentais, je ressentais toutes les impulsions et les odeurs de l'air. Air que Malicia fendit. Elle semblait voler. J'admirais sa force et surtout sa grâce.
Je souris de mes dents un peu trop pointues pour un humain.
Je courrus tel une panthère pour sauter au dessus de la barrière. Evidemment je ne sautait pas assez haut. Mes mains agripèrent la gille pour me donner un point supplémentaire et c'est quand mes pieds touchèrent les barreaux je sautais de nouveau san lâcher les grilles, faisant une pirouette et lâchant au derniers moment. Les pics qui trônaient glissèrent sous mon dos. J'attéris sur mes pieds mais le choc fut trop fort et je chancelait.
Rougissant je dit :

-T'as gagné.

Je souris à Malicia.
Tout en lui prenant la main nous suivions le chemins. Son odeur envahissait mes narines. J'oubliais notre querelle, rien ne comptais plus que nous. J'avais oublier aussi mes oreilles et ma queue... jusqu'à ce qu'un gamin d'environs huit, neuf ans sorte d'un buisson et me regarde comme si j'était un animal... ce que j'étais en partie...

Ce petit garçon...Je ne l'avais même pas vue ni sentit arrivé, il a surgit de nul part.Il fixait les oreilles de Stefan .
Il fallait détourné son attention...

Je me suit planté devant lui ,avec un grand sourire et lui ait dit:

-Mon petit tu devrait pas être là.Je lui ait pris les épaules
et l'ai retourné j'avais commencée à le poussée .
Aller,aller tu est grand tu va pouvoir retrouver ton chemin ,tu dois venir du zoo ,non ?

Il hochât la tête et il me questionna sur les oreille de Stefan,légèrement déstabilisée
je lui ait répondu qu'on faisait un spectacle au zoo et qu'il fallait qu'il se dépêche.
Après tout nous sortions de la sortie du personnel...Je crois...

L'enfant c'était mis à courir vers l'entrée ,apparemment heureux d'aller voir un spectacle au zoo,
car a priori c'était de là qu'il venait.

-Voila problème réglé.Dit-je a Stefan fière de moi.Dépêchons nous !
Je ne savais pas pourquoi mais je souriais béatement...
Petite minute,je savais exactement pourquoi je souriais ,j'étais avec Stefan !

Je soupirais. Malicia avait tou pris en main. Elle m'avait semblé si féminine quand elle avait détourner l'attention du gamin. Étrange comme pensées.
Je lui pris la taille et la serrais contre moi.
Je humais son odeur en grognant de plaisir.

-J'avais tant rêvé de te prendre de nouveau, de sentir ton odeur,...

Mes canines me démangeais. Le loup en moi était à l'affût. Je grimaçait, je n'aimait pas quand le loup en moi voulait prendre le dessus.
Je ne réussis pas à remettre en mode veilles mes oreilles et ma queue qu'après quelques minutes.
Je m'excusais.
Le loup ne voulait plus me laisser la place, je n'aimais vraiment pas cette sensation.
Je pris la main de Malicia et avançais. Priant pour que mon loup s'endorme de nouveau. Je sentis l'air. L'odeur du loup dépassait celle de la femme, celle du Coyote, et la mienne.
Je paniquais.

-Hum... on est bientôt arrivé?

Je voulais me poser. Il fallait que je me calme.

L'odeur du loup de Stefan ce faisait de plus en plus sentir ,puis d'un coup il a semblé se calmer et l'odeur a sembler légèrement se dissiper.Stefan semblait paniqué ,il voulait savoir si nous étions près de chez moi.

-Oui ne t'inquiète pas !Dit-je en lui serrant plus fort la main.
On voyait déjà ,les contours de mon immeuble se déssiné.Heureusement que j'avais pensée a laisser la véranda ouverte !
Nous passions a travers un épais buisson ,et nous arrivions derrière le bâtiment ,il se trouvait un clairière avec quelque fleurs sauvages qui poussait un peu n'importe où. *Il faudrait que j'arrange ça ...*

-Reste là,deux secondes.Je lui lâchait la main,a regret.Je me dirigeais vers une porte en bois a l'arrière e bâtiment.-La remise. J'en sortit un échelle en bois je la mis contre le mur ,en dessous de la véranda ,puis j'ai commencé a monté quelque marche ,j'ai passée mes doigt fin a travers la fine ouverture et j'ai poussée la porte.Elle s'est ouverte entièrement directement .J'ai vite fait rangé l'échelle.J'en avait juste besoins pour ouvrir la porte ,mon appart était au première étage ,même moi j'arrivais a sauté cette hauteur...Je refermais la porte .Et me dirigeais vers Stefan;

-Bienvenue chez moi !!!Dit-je en lui indiquant la véranda ouverte ,avec un grand sourire .Après toi....

J'attebdis patiemment Malicia. Je sentais quelques vertiges.
Mon loup voulait sortir mais je le retenais.
C'est alors que je sus ce qu'il voulait. Il voulait du sang.
Je respirait tranquillement et méditais.
Je me calmais tout doucement quand j'entendis un déclic et Malicia, avec sa peau aussi douce que le velour, m'invitait.
Je la rejoins et découvrit son appart'.
Il était magnifique et je me permis de m'assoire en emportant Malicia avec moi. Cette denière ce retrouva sur mes genoux, ses lèvres préssée sur les miennes.
J'haletais.

-Dé... désolé,... j'en avait envie...

Je lui caressais les hanches délicatement, presque sensuellement.
L'odeur de mon loup était très fort et je m'en voualait.
Je me concentrais sur l'odeur de Malicia.
Je grognais de plaisir pendant que je captais l'odeur de son corps. Je vis à ses yeux qu'elle savait ce qu'avait signifié ce grognement et ce que je sentais.
Je la désirais. Je souris et je fis comme une personne normale - si on excluais ma voix sensuelle - :

-Est-ce que tu pourrais m'offrir à boire s'il te plaît?

J'étais sur ses genoux.Il me demanda a boire.
-Oui,j'arrive ,je crois qu'il me reste du 7up dans le frigo...
Je pensait qu'il ne prêterait pas attention
,a la boisson que je lui servait mais arrivée a la cuisine je voulus quand même lui demandée.

-Dit,du 7up ça te va ?
Lui demandai-je en montrant la bouteille.

J'entendis une vague affirmation ,mais je n'étais pas sûre de ça que j'avais entendue mais tant pis
,je disposais sur un petit plateau un bol de chips et deux verre.
Je portais la bouteille sous mon bras et le plateau dans mes main.

Je posais le plateau sur ma petite table puis servit de la limonade dans les deux verres.
Stefan sentait le loup mais je n'y faisait pas attention je voulais juste passée un moment avec lui...
Je pris mon verre et bu une gorgée,la limonade bien fraîche ...rien de mieux pour ce rafraîchir !

-Alors ,quoi de neuf ?Lançais-je en feignant la décontraction ?

Je fis une petite affirmation. Je me concentrais pour éteindre le loup en moi.
Je me mordit légèrement le poignet.
Elle arriva dans le salon et me demanda si son choix de boisson me convenait.

-Oui, pas de problème ma douce.

Elle repartit pour revenir avec des verres et des chips. Pendant qu'elle servait les verres devant moi je lui caressais les hanches de haut en bas avec sensualité. Mes mains approchais de sespoches arrières. Je ne ressemblais à ce moment là à un pervers et non à un gentleman, je me sentais honteux et je pris mon verre pour en boire une longue gorgés. Je faillis m'étouffer quand elle me posa une question si normale.
Je fus surpris et je mis du temps à ressortir mon sourire dévastateur.

-Je... je n'ai pas supporté ton départ... j'ai laisser le loup prendre le dessus pour éviter que je ne souffre de trop.

Je baissais les yeux, fixant mon verre bien que mon regard se perdait dans une peau de loup, loin, encré dans la peine et la solitude.

-Malgrès cela, mon loup penssait sans cesse à toi. Il me faisait souffrir. Je me suis donc endormis, je lui ai laissé la place. Il a tuer beaucoup de bétail. Générallement je ne lui laisse pas le contrôle à cause de ce qu'il fait. Mais j'avait besoin de dormir. Tu me hantais sans cesse...

Je fermais les yeux pour retenir les larmes.

-Pour la première fois de ma triste vie je n'ai pas supporté que quelqu'un me jete...

Je levais les yeux vers elle.

-Je n'ai cessé de te désirer, de vouloir te revoir même si je savais que tu me detestait.

Je lui avait tout dis. Ou presque.

-Pourquoi ne m'as-tu pas ignoré, ou rejeté tout à l'heure? Pourquoi me laisses-tu abuser de toi en t'embrassant? Tu m'en veux je le sais, alors je veux savoir pourquoi...

Je sentiais ma tristesse et mon désir. J'ignorais ce dernier depuis que j'étais arrivé.
*Monstre*
Mon loup avait balancer ce mot avant de s'endormir. Je fut anéantis. C'est de sa faute si tout cela m'arrive, si j'étais normal j'aurais pus l'aimer de tout mon saoûl.
Je me levais et posais mes mains sur mon épaule.

-Je t'aime...

Elle pouvais me reposer... je me demandais vraiment ce qu'elle allait faire...

-Pourquoi je ne t'ai pas rejeté ,c'est évident ,non ?Je souriais à présent.
C'est parce que j'ai souffert autant que toi d'être séparée de toi et c'est parce que ...tout simplement parce que je t'aime aussi ...

A ce moment je lui avait révélée ce que j'avais dit a une seule autre personne dans ma vie et cela faisait un bien fou .
Il savait ce que je ressentais pour lui et je savais que ce n'étais pas mon coté animal qui parlait ,je savais que c'était moi qui parlait.
J'ai posé mon verre et je me suis approchée de Stefan ,je l'ai enlacée et j'ai posée ma tête dans son cou.
J'étais si heureuse de pouvoir de nouveau sentir son odeur...

-Je ne partirais plus maintenant je sais ce que tu ressens pour moi,mainetant...
Je plongeais mes yeux gris dans les siens et je déposais un baiser sur ses lèvres.
Et je me serrais contre lui comme s'il allait m'échapper ,je me serrais contre lui pour ne plus le lacher.

Ce contact si chaud et si exquis mais fit frissonner. Je sentait mon propre désir augmenter alors qu'elle se collait à moi.
Je voulus me détacher, mais je ne pus me séparer de ses lèvres sur lesquels je passait ma langue.
Lèvres que je mordillait tout en caressant ses hanches. Sentait-elle mon désir?
Sur un accès d'hormones je mordit un peu trop fort et je sentit le goût délicieux du sang. Je rougis et me poussais de Malicia.
Les yeux grand ouvert par la confusion je me mis la main devant la bouche.
Je ne l'avait pas beaucoup ouverte, d'ici quelques secondes il n'y aurait plus rien.
Je rougis de honte. Je reculais doucement, comme si le moindre geste brusque allait la faire fuir.
J'haletais un désolé un peu faible.
Je m'en voulais.
Je me frappais le front avec mon poing.
*Monstre* me disait le loup.

-Je... je devrais me tenir un peu à l'écart... le temps de me calmer.

Généralement ma morsure ne provoquais pas de douleur et restais dans une nature aussi sensuelle que ma voix. Mais je n'aimais pas ce côté bestial que je gardais en moi.
Mais avec tout ça, je n'ai jamais désiré être humain.

-Je m'en veux tellement...

Ma voix était plaintive, plus que je ne le voulait.
Mon désir était toujours présent, mais un autre désir s'éveillait en moi alors qu'il n'y avait que moi, Stefan, au commande de mon corps.
Malicia me reprochais le fait que je me disais être une erreur de la nature, un monstre. Elle avait beau penser le contraire, j'étais ce que j'étais. Une erreur sanguinaire...

-Ce n'est rien ,ce n'est rien...Je passais ma langue sur ma lèvre, elle n'était déjà plus ouverte ,j'avais lécher le sang qui était dessus.Il n'y avait plus aucune trace de ce qui s'était passé.

-C'est bon c'est fini...
Tu vois c'est déjà passé et si à chaque fois que je m'ouvre tu devais t'éloigner de moi, je ne pourrais pas survivre...
Je voulais ajouter quelque chose mais je me retint
,a vrai dire je me disais que peut-être
s'il avait vraiment envie de boire mon sang ce serait exaltant ce serait peut-être comme dans mes livres de
la communauté du sud (les livres de True Blood.) mais il est vrai que c'est la vrai vie et les livres reste des histoires ...
Presque dans tout les cas .

Je me blottis de plus belle contre son torse.
Il avait envie de moi je le sentait mais
,moi aussi je le désirais mais ,j'avais envie de passé un moment normale avec mon ...petit ami ?

-Je ne veux pas être éloigné de toi ne serait-ce que pour une seule secondes !
Tu est trop important pour moi...et si tu as besoin ,vraiment besoin de quelque chose tu peu me le dire ,tu sait...

Qu'entendait-elle par cette phrase? Je déglutis et proposais une solution qui me gênais énormément :

-Tu ne serais pas en train... de...

La nausée m'envahis.

-De m'offrir ton sang?

Je me levais et chancelais un peu. Son sang m'appelais mais je me contrôlais.
Je m'assis près d'elle et c'est à ce moment là que je sentis son désir.
Que devais-je faire?

-Tu es importante pour moi, je ne pardonnerais pas d'abuser de ton sang. Je m'en veux. Je... ton sang m'appelle... mais je n'ai... pas le droit... d'y toucher.

Je mis ma tête sur ses cuisses. Puis, comme pour jouer je dis d'une voix de gamins :

-Et ton corps m'appelle.

Je déposait un baisers à l'intérieur de ses cuisses.
Son sang palpitait sous sa peau tendre. Ce sang me rendait fou, les battement de son coeur étaient aussi saccadés que les miens. J'avais envie d'elle. De son sang aussi, mais je n'avait pas le droit.

-Si je touche à ton sang ce serait admettre que je suis un monstre.

Je souris. Mes dents aiguisées attiraient souvent l'attention, mais je voulait surtout montrer le danger que j'étais.
Reniflant l'air je dis :

-A moins que tu ai une idée d'activité ludique, je préférerais aller dans ta chambre plutôt que de jouer sur le canapé, c'est un peu à l'étroit à mon goût.

Je rosis un peu. Je pense qu'elle m'avait compris.

[i](J'ai pas de canapé XD)[/i]

Je frémissait déja d'envie de lui ,j'aurais eu envie d'écarter les cuisses et me glisser vers sa partie intime mais je ne le fis pas .
Je ne sait pas ,j'en n'avais envie mais ,je bloquais ,je ne pouvais pas .

-Désolée ,je ne peu pas .
Dit-je en écartant sa tête de mes cuisses et en plongeant ma tête dans mes main, je rougissais
.-Désolée..je ne peu vraiment pas ...si on le fait la maintenant ,je ne sait pas .
J'aurais l'impretion que ce serait juste pour ça.

J'aurais voulu m'entèrrée dans un trou et ne plus en ressortir.
Je ne savais pas ce que Stefan penssait ,je ne pouvais pas lui offrir tout ce qu'il désir ...
Il serait fâcher et rentrera cher lui ,me laissant ici.

Non !Il m'aime !J'étais perdue ...

(Pas grave xD)

Je me levais. Je me sentais mal à l'aise. Le loup en moi aussi. On ne savais tout deux quoi faire. Il voulait son sang que je lui interdissais et moi je la voulait elle, ce qu'elle m'interdisait.
Je m'assit à ses pied, le dos contre ses chambes, commes un chien gardant sa maîtresse. Je respirais un bon coup. L'odeur de mon désir me derangeais maintenant qu'elle m'avait refusé.

-Je te comprend, j'ai peur moi aussi que tu croive que ce n'est que pour ça. Je me suis jamais sentis aussi attiré par quelqu'un, j'ai dû mal à me contrôler...

Mes oreilles sortirent de mes cheveux noirs et se couchèrent sur mon crane.
J'étais triste et mes oreilles le signalaient en évidance. J'étais triste de ne pouvoir la satisfaire. J'était surtout triste qu'elle me pense à ses côté juste pour l'amour et non pour l'aimer.
Je posais ma tête sur ses cuisses.

-On fait quoi alors ma douce?

J'avait prix une voix encore plus sensuelle

-Je ne sait pas .Toi tu sait ce que font les couples normales ?

Je n'en savait rien ,
moi je lui aurait proposé de nous transformé et
d'aller courir dans les bois ,c'est ce qui m'aurait fait plaisir.
Les oreilles de Stefan était sortie ,
il était encore plus mignon quand il les avait.
Je lui caressait la tête et appréciait la douceur de ses oreilles.
En attendant sa réponse.

Quand elle me touchais la tête et caressait mes oreilles j'émis des faibles grognements de plaisir.
Quand sa main toucha un point sensible de mes oreilles je frémis. Et rougissant je dis :

-Je suis sensible à cet endroit...

Je lui mordit gentillement la cuisse avant de répondre :

-Je ne sais pas... je n'ai jamais eu de vraie relation. Sortir au cinéma... se balader...

Je sentis l'odeur de son coyote légèrement augmenter. Mon loup ne réagis pas.

-A moins que tu ai envie que l'ont aille se dégourdir les pattes. S'il y a une forêt pas loin nous pourrons courir. Toi en coyote et moi...

Je regardais mon être.

-En moi. Je ne me transforme pas, mais je court aussi vite qu'un loup garou en furie tu peux me croire.

Avais-je dis en riant.

-Alors ,ok ,on va faire un tour dehors !

Je me suis lever et j'ai tourné le dos a Stefan
,ça ne servait a rien mais bon je n'était pas exhibitionniste non plus !
Même devant mon petit amis...
J'enlevais en vitesse mes habits ,
ce n'étais pas un strip-tease après tout.
Alors quelque chose me trotta dans la tête...
J'allais lui laisser le choix...

-Dit tu as envie que je me transforme en quoi ? Dit-je sourire aux lèvres.

(Pas d'inspiration..)

Mes oreilles tressaillirent.

-Tu peux te transformer en autre chose qu'en coyote?

Mes yeux coulaient sous ses formes. Mon instinct se réveilla. Elle me torturais, j'étais là, attendant qu'elle se transforme, elle est nue et me pose des questions. Comment réfléchir quand on à l'objet de ses désirs si proche mais si loin également?
Je grognait d'envie. Je sentait mon excitation.

-Comme tu veux ma douce... mais si tu ne te transforme pas vite je vais perdre mon self contrôle...

J'avais susurré ces derniers mots. Ma queue balayait le sol frénétiquement.
Je me levais et restais derrière Malicia, la prenant dans mes bras.
Puis, sous un impulsion lupine je lui mordillait la nuque.
Je grognait de plaisir.
*Mais qu'est ce que je fou?*
Je me décalais légèrement, essoufflés.
Madame avait dit non. Je devais la respecter...

Stefan me désirais vraiment et ,je pouvais le sentir je me suis dit que tant pis.
Que encore pour une fois j'allais écouté mes instincts animales.
Je me retournais en le plaquant au sol ,je commençais a l'embrasser ,
prise d'une passion soudaine surgissant de nul part.
Je sentais ses bras sur mon corps ,j'étais comme prise d'un état second ,
je me mis a passer une main dans ses cheveux et l'autre caressais sa nuque.
Je l'embrassais appréciant la chaleur de son corps sous le mien,ses lèvres douces ,
ses magnifiques yeux ...J'aurais pu décrire toutes ses qualités pendant des heures...

Il avait dit qu'il perdrais son self contrôle ,étonnamment c'est moi qui l'avait totalement perdue...
Je commençais déjà a me tortillée pour enlevé son t-shirt.

Entre des gémissement et des soupirs saccadés, je réussis à dire une phrase :

-Tu... nous devions aller courir...

D'une main je caressais le bas de son dos et de l'autre ses cheveux. Mon loup n'aimait pas être dominé et le fait de me retrouver au piège contre le sol frais et le corps chaud de Malicia me fis une drôle d'impression.
je lui mordillais l'oreille quand elle tenta d'enlever mon tee-shirt.
Je grognais de plaisir tout en l'embrassant comme un fou. L'odeur de nos désir montaient et se mêlaient entre eux.
Ma main descendis vers ses fesses que je caressait tendrement.
Mes oreilles tremblaient et je sentait mon corps réagir à nos envies.
J'haletais.

-Tu... je ne veux pas que ce ne soit que ça entre nous... mais tu as le dons de m'exciter.

Je grognais une nouvelle fois.

-Je ne suis qu'un mâle... je suis sensible à ce genre de choses...

Je me languissais chez moi. J'avais fais mes devoirs,
j'avais fais le ménage, appellé mon père, et à présent je m'ennuyais.
Je voulais aller en ville faire du shopping, mais toute seule, cela
ne me tentais guère. D'un coup, j'eu une idée :

Oui ! Je vais aller voir ce que fait Malicia, et si elle veut on ira
faire du shoping.

J'ouvris la porte de mon dressing, choisis, avec difficulter entre mes trentes
paires de chaussures noires, je les enfilais, elles étaient belles, pourvus d'un
laçage derrière le talon; aiguille, bien sur.
Je pris mon sac, mes clés, mon gloss, mon portable, balança le tout dans mon sac,
ouvris la porte, la referma, vérifia à deux fois si je l'avais bien fermée, je n'eu
à faire que quelques pas,j'étais déjà devant la porte de Malicia.
Elle m'avait bien préscisé que je n'avais pas besoin detoquer, alors j'ouvris la porte
et dis :

Ma chérie ? tu es là ?

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