Je venais de rentrer, et je me sentais à présent
fatigué. Je fis chauffé de l'eau dans ma bouilloire,
quand je me rendis compte que je n'avais pas encore
fais les courses.
Je me tourna vers mon bureau, et je commença à préparer
mon sac pour demain. Alors, mon agenda, ma trousse, mon
cahier de brouillons... et... tiens, l'athamé de ma mère
pour me défendre à cas où.
je me sentis prise d'un vertige étrange, je ressenti une bouffé de
chaleur, ainsi qu'un épais brouillard autour de moi.
…. ça y est, tout était clair.... Je tenais entre mes mains, l'athamé....
De l'encens autour de moi... Un calice remplis d'eau... Des bougies...
Je récitais une étrange messe dont je ne comprenais pas tous
les mots, car un voile de distance se faisait ressentir....
J'invoque la présence...gardien de.... tour de l'Est.. garde ...
gouverne l'air. Nous t'invitons à te joindre...
notre célébration... influences bénéfiques....
Ainsi soit-il....
A présent, j'allumais une bougie noire de la main gauche,
et je tenais une photographie de l'autre.
Ho grande déesse, toi qui est mère et qui protège toutes tes créature,
aide moi à protéger Gwendolyn Hémathyte Anémone....
Je pris en main, une petite robe de coton blanc dans mes mains,
et dans un chaudron je versa du sel dessus, puis de l'eau.
Je releva la tête, des hommes et des femmes, en robe de tissus brun et rouge se tenaient autour de moi.
Ils prononcèrent docilement en choeur :
Grande prêtresse, que votre fille soit protégée à jamais
par les arcannes de la magie. Soyez bénit.
Je quitta la salle suivit du regard de ces personnes,
qui semblaient être impressionné par ma présence.
Un gouffre noir me happa,et, peu à peu je retrouva mes esprits.
Mais pourquoi j'étais donc devenu pendant un court instant ma mère ?
Et pourquoi avais-je participé à un étrange rituel, qui ressemblait à de la sorcellerie ?
Ma mère avait eu l'air angoissé, inquiète, pour quelque chose, mais quoi ?
Je voulais à tout prix savoir pourquoi avais-je eu cette vison,
et pourquoi ma mère semblait si désespérée.
Je m'installa dans mon lit et me mis à songer à des tas de choses.
De plus en plus, la certitude qu'un autre monde existait se formait dans mon esprit.
Je m'étais assoupi, quand quelqu'un toqua à la porte.
Je m'approcha de la porte et l'ouvra...