Rencontre avec Malicia

Mon corps reposait sur les formes du tronc à la mousse tendre. Le vent me soufflait mille et un secret de la nature. J'entendais le feu de mon âme danser en moi. Avançant dans les feuilles sèches, j'avançais tel une ombre parmi les raid de lumières perçant les arbres et qui venaient me caresser la peau.
Le vent souffla en bourrasque autour de moi. J'ouvris les bras et accueillis sa puissance en moi. La terre gronda et je compris qu'ils voulaient m'offrir un message.
Le vent souffla à mes oreilles. Je sentit l'air frais et sentit l'odeur de coyote, mêlé à celui d'une humaine. Une étrange sensation qui me fit hérisser les cheveux de ma nuque. Avoir du sang de loup m'avait beaucoup aider à devenir un des seul garçon sorcier. Malheureusement le loup en moi était très territorial et je vagabondait beaucoup dans cette forêt et j'avais du mal à garder en laisse le sang de loup qui coulait en moi.
Je n'avait pas de races. Je n'était ni totalement loup, ni totalement humain. Un bâtard sur les mondes.
Courant dans les bois comme une panthère je sentait le vent qui faisait voler mes cheveux d'un noir profond. Mes yeux doré, significatif de mes gènes de loups, voyaient au delà de la vision humaine et je courait dans la forêt, avec elle. Car je faisait partit de la forêt.
Je me retrouvait dans le parc. L'odeur que m'apportais l'air confirmait la présence d'une personne dans les bois. Une humaine... une métamorphe plus précisément.
Je la suivis avec la grâce que la vie dans la forêt combiné à mes instincts de loup.
Finalement je vit une jeune coyote avec une belle cicatrice sur son oeil.
J'avais un soucis qui m'était resté de mon père, loup garou, je réagissait à l'appel du sang. Il n'était pas vital pour moi d'en avoir et je pouvait résister. Je fis donc en sorte de ne pas me couper et j'envoyais mes instincts au fond de moi. Si le combat éclatais, ce qui n'avait pas lieu d'être, et que le sang coulait je n'arriverait pas à retenir le loup en moi.
J'approchais tel un prédateur.
Sachant que je la surprendrait je cassais une branche sur le sol.
Je souris de mes dents légèrement plus pointue que la normale mais pour remarquer il fallait vraiment observer. Sauf si je mordait généralement les gens ne le remarquaient pas. En tout cas les humains.
Narguant le loup en moi je me mis à parler avec ma voix qui était d'après ma mère magique et qui était envoûtant chez les humains. Humains mais pas métamorphe ou autre espèces. Avec cette voix grave et faite de velours, et pourtant naturelle, je dit :

-Que fais-tu ici?

En général je ne parlait pas car les humains qui succombaient à ma voix.

-Je m'appelle Stefan... Stefan Night.

Je souris. Le vent nous apporta une brise tiède qui réchauffa ma peau fraîche.

[size=12]Cela devait bien faire deux heures que je courrais dans les bois du parc.Sous ma forme de coyote je me laissait guidée par mes instincts animal et cela ne m'avait pas aidée ,le fait qu'un renard mâle plus gros que moi me surprenne sur son territoire l'avait fâché et je m'était retrouvée avec une entaille sur l'œil rien de bien grave ,quand j'aurais repris forme humaine ,la blessure cicatrisera vite.

Le soleil commençait à descendre dans le ciel ,mais ses rayon d'une couleurs orangé donnait à la forêt un air magique ;une bourrasque de vents secoua mes poils ,je fus à ce moment la comblée ,je venais d'arrivée en ville,j'avais un appart' génial et je m'était faite une nouvelle amie,rien ne pourrait gâché mon bonheur ,du moins c'est ce que je croyait au moment ou je sentit une odeur étrange.Je n'arrivais pas a trouvée d'où elle provenait ,ce parfum si particulier me faisait pensée à un loup mais quelque chose d'humain persistait.

En quelque secondes je me trouvait en face d'un garçon,un homme, non c'était un adolescent je ne pouvais pas lui donner d'âge ,il était beau mais planait autour de lui une aura magique...

Il me dit d'une voix qui me fit frémir:-Que fais-tu ici?
-Je m'appelle Stefan... Stefan Night.

Il sourit ,ses dent légèrement pointue ne me disaient rien de bon, je n'avais jamais rien vu de tel .

Je baissait les oreilles et montrait mes dents à ce Stefan...Je ne l'avait jamais vu dans le coin et j'hésitais donc à me transformée et puis a vrai dire je n'avais pas pris de vêtements avec moi ,même si d'habitude je me retrouvais souvent nue à cause de mon don ,je ne voulais
pas me montrée devant ce garçon .

Après tout si je me mettais a courir ,je lui échapperais sans doute ,la maison n'étais plus très loin...
[/size]

Je perdit une fraction de seconde mon sourire quand je vit le coyote baisser les oreilles et montrer les dents.
Je m'accroupis et mes oreilles de loup et ma queue sortirent de ma tête et du bas de mon dos.
avec mes mains j'essayais de les faire rentrer. J'avais un air gamin et je hurlais :

-Punaise pas maintenant!

J'appuyais comme un taré sur mes oreilles. Mon visage rougis de douleur.
J'émis un grognement et mes oreilles finirent par céder. Je laissait ma queue tranquille trop fatigué et la tête trop douloureuse.
Je m'aperçus que le coyote était toujours là et je rougis de honte. Ma voix n'avait pas perdus de sa sensualité même quand j'avais crier. Je mis une main derrière ma tête.

-Désolé de m'être emporté, mon sang de loup est assez contraignant.

Je me mis à rire. C'est alors que mes oreille sortirent de nouveau et je fis une mine désespérée.
Le vent m'apporta l'odeur de la coyote me parvint et le vent tourna apportant mon odeur à elle.
*Son odeur... elle sent l'ennemi par ce qu'elle est un coyote, mais son odeur humaine est...exquise...*
Me donnant une claque mentale je me ressaisis et caressa mes oreilles douloureuses.

-Je ne te ferais pas de mal, tu n'est ni sur ton territoire ni sur le miens...

Ma voix était totalement exquise. On aurais pus la croquer si elle était faite de matière. Elle était pleine de velours, de couleurs et de chaleur.
La terre trembla. Ma main devint chaude et je sentit une onde de magie. Fermant le point j'invoquai le gardien de la tour de l'Ouest.

-Puisse la terre m'offrir l'eau. L'eau de ta source de voyance.

Une petite flaque se forma devant moi et je regardais dedans. Une jeune fille traçais un cercle et commençais un rituel.

-Tiens... elle prépare Imbolc. C'est bien elle purifie ses objets...

Renvoyant l'eau d'où elle provenait l'onde magique s'éteint quelques secondes plus tard.
Le vent souffla entre Nous. Je souriais Malgré le fait que mes crocs me démangeai.
Puis je me rendit compte que je venais de dévoiler mes secrets et j'observais la coyote.

-Oups... tu n'aurais pas du voir ça...

Avec un petit ton gêné j'étais à croquer mais je ne le savais pas, d'habitude je ne parle pas aux inconnus. Ma chemise entre ouverte se gonfla et le vent tournai sans cesse mélangeant nos odeurs, ce qui était assez envoutant.

[J'ai eu un problème et j'ai du partir pendant quelques heures, finalement j'ai fini le rp sans savoir si ça colle ou non. Excuse moi si il y a des erreurs. Navré fille de la Lune. *S'incline*]

Je montrait les dents ,a ce moment ,je ne su ce qu'il se passa une queue et des oreilles de loup lui sortire du corps ,il hurlait.
Je ne savais pas quoi faire ...

-Punaise pas maintenant !Dit-il.

Il rougit ,étrangement et il me lança : -Désolé de m'être emporté,mon sang de loup est assez contraignant .

*pense*Quoi un loup ?!Comment était-ce possible Il n'en n'avait pas l'odeur n'y l'apparence mais ...je veux savoir ce qu'il est ...

Le vent se leva et une légère brise vain ramener mon odeur vers lui ,il semblait la renifler,et l'apparécié...

Tout d'un coup il se passa quelque chose d'incroyable de totalement fou... La terre trembla.

-Puisse la terre m'offrir l'eau. L'eau de ta source de voyance.

Une petite flaque se forma entre nous et il regarda dedans. Je ne voyais pas ce qu'il y avait dedans pour moi ,c'était une flaque spéciale ,car il la fixait il semblait regarder quelque chose...

-Tiens... elle prépare Imbolc. C'est bien elle purifie ses objets...

Le vent souffla entre Nous.Il semblait décontenancé ...

-Oups... tu n'aurais pas du voir ça...

Je voulais lui parler ,non,il le fallait .Je me diragait vers l'abre qui était a un mètre de moi ,je ne me retournais pas et gardais mes yeux gris fixer sur lui .Puis je me cachait dérrière l'arbre et me transformait en quelque secondes je me retransformait en humaine .

Tu n'as pas intéret a bougé ! Répondi-je avec un petite voix.
Je suis Malicia ,je suis méthamorphe et toi t'est quoi ?!
Tu vien ,d'où ?!

Tant de question se bousculaient dans ma tête ,et en plus j'était totalement nue et ça me gênait horriblement ! J'avais horriblement faim ,c'était comme après chaque transformation ,j'avais une faim horrible ,elle était tel que si je fesait trop défort je risquerait de m'évanouir .

Je vis le coyote partir derrière un arbre en me fixant. Mon regard plongeas dans le siens. Le loup en moi aurais voulus sortir et lui courir après. Pas méchamment, pas gentillement non plus. J'avais des instincts de loups mais je ne pouvait me transformer.
Ma queue se balançais et envoya quelques feuilles plus loin. Mes oreilles bougeais au rythme du vent qui échangeais nos odeurs.
Contrôlant le vent je fis en sorte que son odeur vienne à moi. C'est alors que je sentit l'odeur humaine de la métamorphe.
Je tressaillis et me mordis les lèvres en essayant de justesse de ne pas faire couler mon sang qui avait généralement pour les autres prédateurs une bonne odeur.
C'est alors que j'entendis sa voix qui me fit frémir.

-Tu n'as pas intérêt a bouger ! Répondi-je avec un petite voix.
Je suis Malicia ,je suis méthamorphe et toi t'est quoi ?!
Tu viens ,d'où ?!

J'aurais voulus laisser court à mon instinct de loup et laisser ma langue pendre. Le vent continua son jeu et j'en déduis qu'elle était nue. Rougissant de honte j'arrêtai le vent. Puis je dit :

-Vent du Sud, Air et feu, réchauffer l'atmosphère de rêves et de chaleur.

Un vent chaud alla réchauffer la métamorphe cachée derrière l'arbre.
Je me grattais derrière l'oreille et réfléchis.
De ma voix sensuelle mais néanmoins naturelle je dit :

-Je ne bougerais pas ne t'inquiète pas. Bon... alors je suis Stefan Night, ma mère est Wicca, elle m'a transmis son savoir et j'ai hérité de pouvoirs un peu étranges. Mon père était un loup garou et son sang coule en moi. J'ai un instinct lupin et cela est contraignant dans certains cas... tu savais que tu sentait bon?

Je pensait qu'elle allait mal le prendre. Sans m'en rendre compte je transperça de mes dents la fine peau de mes lèvres.
L'odeur du sang montât dans mes narines.
Je gémis.

-Oh non ...

Me retenant de respirer j'aspirais le sang. Je réussis à retenir la bête en moi. Contrôlant le vent je fis en sorte que je ne sentait principalement que l'odeur de la terre.
Je sentis ma peau cicatriser. respirant enfin je me rendit compte que...

J'avai passée ma tête pour pouvoir l'observée de mes yeux ,toujours en fesant attention a ne pas dévoilée mon corps ,il était beau ,maintenant je le voyait avec mes yeux humain ,il était beau...Moi a coté de lui avec mes cheuveux tout ébourifée ,je me sentait toute penaude .

Il rougissait ,pourquoi ?Il s'était coupé a la lève cela semblait l'éxité ou je ne sait quoi ,il semblait lutter ...Mais pourquoi..Le sang !Cela devait l'affecter mais comment .

-Dit ca va ?

Ce garçon ,il m'intriguais il était beau ,il semblait ètre jeune sans l'être ,sont coté animal ressortait encore plus maintenant ses yeux luisait ,sa réspiration se fesait plus pesante son torse se bombait en harmonie avec les battement de son coeurs cette mélodie ,que je pouvait entendre a vec mon sens de l'ouie légèrement plus développer que les humain je pouvais légèrement l'entendre...cette mélodie...

<< Désolé j'ai pas pu faire plus manque de tamps mais je me ratraperait !>>

Je vis le visage de la jeune fille. Le sang ne coulait plus. Mais malgré cela quelque chose me démangeait.
Elle me demanda si ça allait. Mon souffle était rauque et ma voix plus magique que la normale :

-ça... ça va... désolé... je suis sensible à l'odeur du sang...

Le vent n'était plus là. J'étais encore trop affecté par l'odeur de cette femme coyote et de mon sang pour jouer avec mes instincts de prédateurs.
Respirant profondément je me relevais. Mes jambes étaient toutes engourdies.
J'observais le sol. Mes oreilles bougeaient nerveusement. Ma queue se balançais de droite à gauche.
Je détachais ma chemise et l'envoya non loin de l'arbre.

-ça te tiendras un peu plus chaud...

Me retournant j'observai les rayons de soleil qui réchauffait ma peau nue.
Un grognement de satisfaction sortit malgré moi.
Il fallait que je fasse quelque chose ou le loup prendras le dessus.
Je me retournais doucement après de longues secondes. Il ne fallait pas deux heures pour mettre une chemise et étant donné que je ne la sentais ni ne l'entendais depuis un moment je me retournais...

J'avais enfilée sa chemise ,elle sentait bon,son odeur était ...si étrange...

Je me tenais debout ,je l'observait .La chemise qu'il m'avait donné était légèrement plus grande que celle que je mettais ,elle cachait mon corps .

-Sensible a l'odeur du sang ...ca ne mettait jamais arrivée .Chuchotai-je pour moi même.
Je ne savait pas quoi faire nous étions debout , nous nous observions ;
lui ressemblait a un animal sauvage mi-humain ,mi-bête cette instant
me parut duré des heures ...
Enfin je décidait de prendre la parole :

-Hum...Je ferait mieux de rentrer ...

A cet instant je voulut le saluer de la main et partir mais mon corps en
décida autrement ,je fut prise d'un vertige et la dernière chose que je
sentis c'était ma tête qui heurtait brutalement le sol ,la dernière chose
que je vis c'était cet chose qui s'approchait de moi...

Je planais ,je ne savais plus ou j'étaie le ciel était teinté d'une couleur
violette et rose ,c'était le crépuscule ,je vis une femme s'approcher de moi
,elle parlait mais je ne l'étendais pas ,puis elle disparut comme elle était
apparue ,en quelque secondes .Je ne pouvais plus me lever ,plus bouger ,j'étaie totalement paralysée et là a coté de moi apparu un loup ,il grognais . -Non ! Non !

Et la j'ouvris les yeux...

Je lui souris. Malgré mes efforts mon sourire étais faux. J'étais dans toute les visions et croyances possibles une erreur de la nature. Ce qui n'a pas empêcher ma mère de m'aimer.
Je n'avait pas ressentis le malaise de Malicia. Je ne m'en rendit compte qu'au moment ou elle était à terre.
Je fut rapide, mais pas assez. Quand je fut à ses côté, la jeune fille qui ressemblait alors à un ange tombé du ciel, elle était inconsciente.
C'est alors que je sentit quelque chose de sucré et envoûtant. En tombant elle s'était couper avec un branche.
L'odeur était exquise.

-Non... non... Je... ne peux pas....

Mais déjà je me penchais vers la jeune fille. Ma langue parcourut l'intérieur du bras de la jeune fille où s'était coincé quelques gouttelettes de sang.
Je frémis et de ma gorge montât un grognement rauque et sauvage.

-Non! Non!

Me poussant violemment de la jeune fille j'étais à bout de souffle. En moi le loup grognait.
Je vis la jeune Malicia reprendre ses esprits.
Son sang m'appelais. Il était sucré et avait quelque chose de plus.
Je n'avait pas remarquer la petite goutte de sang qui était resté sur ma lèvre inférieur.
Déjà elle l'avait vu. L'essuyant précipitamment je rougis de honte.
*Je ne suis qu'un monstre!*
Je reculais un peu maladroitement. Puis d'une voix essoufflée et encore et toujours sensuelle *maudit soit cette voix!* je dit :

-S'il... te plaît... je vais t'aider... mais... soigne ton bras... je t'en prie...

Mes yeux fixaient la petite coupure sur le bras de la jeune fille. Je fixais le ciel. Il ne fallait pas que je succombe à cet appel. Cela faisait cinq ans que je n'avait pas eu cette faim là... je pouvait encore tenir... je l'éspèrais...

-S'il... te plaît... je vais t'aider... mais... soigne ton bras... je t'en prie...Dit-t'il.

Mais ,a peine j'eu ouvert les yeux mon regard ce glaça sur sa lèvre inférieur ,
sur elle se trouvais un goutte de sang et vu l'odeur ,c'était le mien...mon sang sur
sa lèvre...
Comment a t'il pu ,depuis quand les loup-garous buvait du sang ,enfin s'il en était
exactement un,A moin qu'il soit un vampire..Non.
Ma soeur m'avais parlée de ces créatures suceuse de sang ,
mais jamais elle ne m'avait parlée de loup-garous-vampire...

Mon bras me lançait .Aïe ,je m'étais ouverte le bras .
Je regardais autour de moi ,rien pour me faire un pansement,donc technique animale...
Je me mis à lécher ma blessure et là en quelque secondes elle cicatrisa .
Le jeune homme me lança un regard plein de remords et d'envie.
Cela me dégouta ...Tout d'un coup mon ventre se mit a gargouiller un gors :*glurps* se fit entendre.

-Désolée j'ai ..j'ai faim...c'est,je sui restée trop
longtemps transformée sans manger... Dit-je encore faible ,
je cru que j'allais encore tombée dans les vapes,mais je tenu bon.

Malgrès son regard de prédateur et ses dents pointues, il ressemblait
a un chiot qu'on n'aurait pris sur le fait ,il semblait vraiment regrèté
son geste alos ,je ne pu m'empèchée d'ajouter:

-Tu sait c'est ta nature tu n'as pas a t'en vouloir après tout c'est la nature ...

-Une nature monstrueuse...

Je me levais. Je faisais honte à ma mère la Lune, et honte à ma mère de sang.
Je n'observait plus la jeune fille. Dégoûté de moi-même je n'avait qu'une envie, qu'elle s'en aille.
Pour éviter tout sujets de conversation et par ce que ma colère étais trop grande, une tornade se forma autour de moi.
Ce soir je me punirait. Quoi qu'il se passe.
Avançant lentement j'admirais la nature. La tornade s'apaisa et le soleil réchauffa mon torse nu et musclé. La voix pleine de doute et de remord je dit :

-Je suis désolé. Cela fait longtemps que j'aurais du mourir, mais j'ai promis une chose à quelqu'un...

La seule personne qui m'aimais en ce monde d'incompréhension, de douleur et de peur.
Souriant à la jeune fille je désignait un immense chêne.

-Nous voilà chez moi. Ma mère s'est absenté, on seras seuls.

Contournant l'arbre je levais la trappe cachée sous les feuilles et descendis. Un autel avait été préparé avec des bougies, des herbes et un bon nombre d'autres choses.
Je souris satisfait. Il faisait chaud ici et j'ouvris une porte devant la jeune fille.

-Tu peux te changer, prend des vêtements dans le placard, il faudras juste me les rendre avant le retour de ma mère.

Puis j'allais chercher un tee-shirt noir qui moulais parfaitement mes muscles.
Attendant la délicieuse Malicia je me mis à préparer un plat.

J'observait l'étrange maison,elle était magnifique ,vivre dans un arbre mais quelle idée géniale
,j'observait la pièce en repensait a ce qu'il avait dit avant :
-Je suis désolé.Cela fait longtemps que j'aurais du mourir, mais j'ai promis une chose à quelqu'un...
Ce detesstait t'il autant pour vouloir mourir ?Pourquoi ?

Après être entrée il m'ouvrit une porte et me dit que je pourais me servir dans le placard
,je le remerciait et lui lançait un dernier regard il s'était déja retourné et
il avait commencé a faire la cuisine,je me dit qu'il était étrange d'avoir une cusine dans un arbre...
La chambre était coquette,une chambre de femme,celle de sa mère je suppose .
J'ouvris le placard et je cherchais quelque chose qui m'était indispensable: une culotte !
Voila elle était rose mais tant pis elle m'allait ,je pris une grosse tunique verte clair
,trop grande pour moi elle déssendait jusque en dessous de mes genoux et ses manches était ample
, elle était en laine ,le contact du tissu était agréable sur ma peau et me tenais chaud,c'était agréable ...

Je me demandais nerveusement ce que j'allais pouvoir dire ,ce garçon n'était pas normal
,et puis il était mignon trop mignon ,je n'avais pas l'habitude de me retrouver chez des gens
,encore moin chez un garçon loup-garou de surccroit .
Je me recoiffait vite fait avec mes mains et ouvrit la porte .
L'odeur était délicieuse ,je ne savait pas ce qu'il cusinait mais rien qu'a l'odeur
je savait que ce serait bon ,je reniflait impeu plus l'air et sentit une autre odeur
,c'était celle de l'encens mais lequel je ne saurait le dire.Sur une sorte de petite table
couverte d'une nappe verte et de quelque bougies,diverse pierres et quelques herbes ...
Ce petit (Ce petit quoi d'ailleurs ?)meuble donnait un air magique a la pièce
,je le regardait plus attentivement éssayant de deviner ce que c'était ...

Je me retournait et je vis Stefan me regardant avec toujours ce regard si effrayant mais si magnifique ...

-J'ai faim,on mange quoi ?! lançait-je joyeusement .

Je me retournais et vis la délicieuse Malicia revenir dans la cuisine.
Je vis ses narines sentir l'odeur qui s'échapais du four. Je frémis. Même si elle sentait l'odeur du plat que je préparais l'idée qu'elle puisse sentir MON odeur me faisais quelque chose d'étrange.
Avec ma voix de velour je lui répondit :

-Ne sachant pas ce que tu aime j'ai fait des petits four et préparé une pizza avec des tartines de poulet à la grecque.

Ce n'était pas grand chose, c'était même des choses insignifiantes. Mais j'étais fière de mes faleuses tartines grecques.
Je mis la table et sortit les petit gateaux apéritifs tout chauds et dorés.
Mes narines frémirent. Je sentais son odeur, l'odeur de son cou où battait son sang, sang chaud et à l'arôme délicieux.
Me concentrant sur les sons j'observait la pièce. Que ce soit sur Terre ou sur l'Autre Côté, ma maison ne changeais pas. Je crois même que c'est la même maison. Ma mère étant sorcière je ne doutait pas qu'elle ai fait une sorte d'endroit interdimentionnel. L'idée me fit frémir. Non, c'est trop irréel pour être vrai. La magie est un fait, mais il ne faut pas éxagérer...

Quand il sortit des tartines du four ,une odeur de fromage de chèvre ,
de tomates et de pain grillée envaie la pièce ,son odeur et toutes les odeurs
qui nous entouraient donnait un mélange subtil et délicieux.

-Ne sachant pas ce que tu aime j'ai fait des petits four et
préparé une pizza avec des tartines de poulet à la grecque.

Miam...ca avait l'air vraiment délicieux ,cela m'étonnais qu'il ait
réussi a faire tout ça en un rien de temps ,c'était décidément un
garçon plein de ressources ,beau en plus ...bref je m'enbalais ,
il semblait toujours penssif et je ne sait pourquoi il évitait de
me regarder ,je décidais d'ignorée ce détail après tout il n'était
pas humain ,il ne prenais pas pour un monstre...

-C'est très gentil d'avoir fait tout ça .je rougis en penssant à la situation.
-Je ne veux pas te dérangée longtemps ,je vais juste manger et rentrée chez moi...
Je suis désolée pour les soucis que je te cause !

Je m'assied sur la petite table et le laissait me servir en silence ...

Il me semblait que quelque chose la dérangeais.
Je la servis et répondit à ses phrases pleines d'une voix délicieuses.

-Tu ne me dérange pas. Je préfére même que tu te repose ici et que tu parte demain. Je n'ai pas envie de m'en vouloir par ce que j'ai laisser une délicieuse créature partir alors qu'elle était fatiguée...

Je rougis, conscient que je venais de dire. Je bafouais un désolé qui me rendait mignon. Mais cela je ne le savais pas.
Je me servis enfin et la regarda en face. Son regard m'accrocha. Il était d'un bleu envoûtant. Puis mon regard glissa sur ses lèvres. J'avais envie de les embrasser... de les mordiller... un grognement qui sortait de ma gorge me réveilla. Je m'étais levé.
*Suis-je encore capable de me considérer comme humain?*
Espérant me sauver je me tournais vers le four et sortit la pizza cuite à point.
Mes mains tremblaient.
Je mangeais en silence, évitant de trop la regarder.
Puis je m'éclairais la gorge.

-Tu pourras utiliser la chambre de ma mère, par contre elle est fraîche, elle n'est pas chauffée. Il y a un lit pliable dans l'autre chambre... mais tu dois te douter que c'est la mienne... si tu veux tu peux y dormir et je dormirais dans celle de ma mère...

Je rougis une nouvelle fois. Je ravalais un autre grognement.
Je n'étais pas amoureux mais elle dégageais une aura qui m'attirais. Peut être étais-ce par ce qu'elle étais en partie coyotte?

-Tu pourras utiliser la chambre de ma mère, par contre elle est fraîche, elle n'est pas chauffée. Il y a un lit pliable dans l'autre chambre... mais tu dois te douter que c'est la mienne... si tu veux tu peux y dormir et je dormirais dans celle de ma mère...Je l'entendis poussez de léger grognement ,pourquoi,lui aussi rougissais ...
Je me servit une part de pizza et mordit dedans en réfléchissant ,son gout était exquis ,d'habitude je n'aimais pas trop la pizza mais la faim causé par mes métamorphose me fesait manger n'importe quoi ...enfin presque nimporte quoi.
J'avalais ce que j'avais en bouche et dit :

-A vrai dire je préfère dormir dans une chambre chauffé mais je ne veux pas que tu tombe malade ,tu peu resté dormir dans t'a chambre après tout on ne dormira pas dans le même lit ...J'aivais parlée trop vite mais ne rougit pas car c'est ce que je penssait.

J'attendais sa réaction et laissait divaguer mon esprit quelque seconde penssant à ma dèrnière relation,si je pouvais apellée ça une relation,j'avais passée deux mois avec un loup-garou pur souche et après deux mois d'une relation à peu près stable il me dit qu'il devait partir je ne sais ou dans un monde parallèle au notre...Et que je ne devait pas le suivre car j'était trop faible ,cela datait de deux ans auparavant ..J'étais encore une enfant...et mes penssées allais avec cela ...

[b]Gardant mon calme autant que possible nous finissâme le repas dans le calme. Je souris à la jeune femme aux yeux bleus.
Mon corps frossionait, il ne faisait pas froid pourtant.
Je commençais à débarasser quand une boule de poil me passa dans sous le pied et me fit tomber... sur Malicia.
Rougissant de honte je me débattit vaguement puis réussis à me relever, la main sur la cuisse de Malicia, l'autre sur le dossier, mon visage était à quelques centimètre du siens.
Rougissant de plus belle et me levait.
Puis j'appellait en grondant :

-Frippon ! Sale fripouille!

Je restait sur ma chaise comme prétrifiée pendant quelque secondes puis je repris mes ésprit
et saisit la petite boule de poils qui avait fait tombé Stefan ,je le tenais dans mes bras ,
tout exiter il me laicha le visage,je rit ,il était trop mignon c'était un peit chien au poil blond
très foncé qui tirait sur le marrron ...je le reposait a terre et il fillait je ne sais ou...

Je me retounais ,Stefan avait fini de débarrasser ,il avait posé les assiettes sur le bord de l'évier
,il m'observait ,je rougit en repensant à ce qui s'était passé quelque secondes plus tot ,
je repenssait à son haleine ,à son odeur et à la couleur si singulière de ses yeux vu de pret
je me demandait si il était célibataire une idée totalement stupide je l'avoue ;
je devait le connaitre depuis deux trois heures grand maximum.

Il était gentil,mignon,prévenant certes il avait un certain penchant pour le sang mais
c'était a moitié un loup-garou c'était dans sa nature ..et il n'était qu'moitié humain...

-Excuse-moi mais esceque je pourrais utilisée ta salle de bain ?

Elle pris mon chien dans ses mains et il lui lécha le visage. Je rougit de colère... jalousie? Non impossible.
J'allais grogner quand je l'entendis rire. Un rire agréable. Mais il fallait mettre fin aux coups de langues du chien qui passait sur ses joues, entre ses deux yeux, sur son menton, sur ses lèvres. Quand je vis ce dernier geste je me mis à grogner de rage.
Le chien s'arrêta et baissa les oreilles.
Malicia le reposa et il fila dans la chambre de ma mère.
Un grognement de dominance retentit. Je ne me rendit compte qu'après que c'était moi qui l'avait poussé.
Rougissant je pris un mouchoir et avança vers Malicia. Penché vers elle, main sur le dossier, j'essuyais délicatement son visage. Puis je passait sur ses lèvres. Mon coeur s'accéléra. Passant une deuxième fois sur sa joue je me redressait, m'éclairait la gorge et dis :

-La salle de bain est la porte noir là-bas. Tu peux y aller.

Je mis à la poubelle le mouchoir et nettoya la table.
Mon coeur battait encore trop fort. Mes yeux d'or semblaient en fusion.
La cuisine étais impeccable. Je portais un regard vers la porte noir. Mes narines m'apportaient une odeur d'eau, de savon, de corps humain...
J'entrais dans ma chambre, simple, où régnait une note masculine mais surtout, elle étaient aussi sombre qu'une forêt et les meubles étaient de bois.
Une odeur de loup s'accrochait aux murs. Je changeais les couvertures qui sentait un peu trop le loup. J'ouvris la fenêtre.
Qu'est ce que je faisais? Je crois que... je cherchais à élever le plus possible ce qui m'arrachais au mot "humain". Malheureusement, l'odeur de sorcellerie, d'herbes, mais surtout, surtout l'odeur du loup, mon loup, demeurait ici.
Mes yeux brillaient d'une grande tristesse.
Écoutant la maison je n'entendis rien, j'allais dans la petite pièce où étaient tout mes vêtement, ferma la porte et me changea.
Je sortis et prépara mon lit et celui de Malicia.
Ma chambre n'était pas très grande et nos lit étaient à un mètre et demis maximum du siens.
Je fermais la fenêtre, il allait commencer à faire froid si je la laissais ainsi.
C'est alors que je sentis une présence derrière moi. Depuis quand était-elle là?
Mes narines frémissent, mon coeur battait, mes lèvres me démangeais...

Tu étais trop occupé a préparé mon lit que tu ne m’a même pas vue dit-je en souriant.

Sa chambre était plus petite que celle de sa mère,
toujours plutôt bien décorée mais avec un style beaucoup
plus masculin, Stefan venait de fermer la fenêtre,
il devait avoir aéré la pièce car ca sentait encore le loup,
ce n’était pas une odeur désagréable c’était la sienne
elle faisait partit de lui de tout son être.

J’étais contre le mur, docile coincée a la merci d’un prédateur,
en l’occurrence lui, il me regardait d’un regard plein de désir,
j’avais envie qu’il se jette sur moi qu’il m’embrasse …
Mais je ne dit rien j’allais m’asseoir sur mon lit,
c’était un lit pliable, les ressort ne faisait pas de bruit,
heureusement. Il était confortable, les draps d’un vert
délavé me faisait sourire j’avais les même chez moi, pur hasard.
Il vain s’asseoir a coté de moi son visage a quelque centimètre de moi,
j’entendais les battements de son cœurs se faire de plus en plus
lourds et bruyant, je sentais son odeur que j'appréciai tellement ,
et je vit ses yeux et cela me choqua ,ils étaient dorée ,flamboyant
tel deux flammes d’un feu de bois .

J’en n’avait envie ,tellement envie mais quelque chose m’en
empêchais si lui ne me voyait pas comme je le voyais j'étaie
une coyote ,un diner pour son loup ,si lui aussi me voyait
comme ceci ,un simple repas ,et si le désir qui se lisait
dans ses iris était du a la faim ,je restait là a observé
ses yeux et a me demander …Pourquoi ?

[Tu n'est pas censé jouer mon perso, attention à l'avertos provisoire ^^]

Elle sentait bon le savon. Son odeur de coyote fit frémir mes narines, même voulant passer inaperçus, elle sentait l'animal, moi que moi je sentais le loup, mais elle sentait le prédateur.
Elle se colla au mur avec une pose qui me dit tout. Mon regard brûlait de désir, mais quel désir?
Je la connaissait que depuis quelques heures et mon corps brûlait. J'écoutai le loup en moi. Il était endormis. Etais-je seul dans ce corps?
Je caressait à travers le tissus le tatouage qui décorais ma poitrine musclé.
Que devais-je faire?
C'est alors qu'elle s'assit sur son lit, enfin son lit provisoire. Devais-je courir le risque d'un amour éphémère? Moi qui ne suis pas humain?
Je m'assis à côté d'elle, approchant mes lèvres des siennes, de plus en plus près.
Je vis l'or en fusion de mes yeux dans les siens. La lumière du couloir les fit apparaître fluorescent.
Je fermait les yeux. Je restait loup dans tout les cas.
Je reculais. Soupiras.

-Je ne suis même pas humain. Je suis une erreur que la nature à laisser filer. Je n'arrive pas à me voir en tant qu'être humain, alors que vois tu en moi pour me séduire ainsi?

Mon corps vibrait. J'aurais voulus la serrer contre moi et laisser la nuit laisser place à nos deux corps se complétant.
Ce désir... quel était-il? J'ouvris les yeux pour voir si elle me regardais.
*Je suis pitoyable...*
Un gémissement de chien battu m'échappa au même moment où mes oreilles sortirent de mon crâne pour se baisser et cacher des mèches rebelles à l'arrière de ma tête.
Je baissait les yeux.
Ses oreilles, ses bruits que ma gorge laissait sortir, cette queue, tout prouvais ma non humanité...

(Désolée ,je saurais a l'avenir !)

-Je ne suis même pas humain. Je suis une erreur que la nature à laisser filer. Je n'arrive pas à me voir en tant qu'être humain, alors que vois tu en moi pour me séduire ainsi?

Ses mots résonnère encore dans ma tête .Je me demandais moi aussi pourquoi je le désirais autant ,il était gentil, mignon et il n'était pas humain...
Son odeur ,sa peau ,ses yeux ,même sa nature ,m'intriguai ,m'attirai ,j'avais envie de le sérrer dans mes bras jusqu'a l'aube rien d'autre .Je ne pouvais décrire ce que je ressentais sur ce moment.
Stefan fesait ressortir ma nature animale et j'adorais ça c'était comme une drogue j'en voulais plus encore je voulais plus de Stefan mais ,cela ne faisait que quelques heures que je le connaissait alors je décidais de laisser mes pultion ou elle était .

J'était énervée a présent je ressentait de la douleur et de la colère de m'avoir rejettée ainsi ,enfin ce n'est pas moi qu'il avait rejeté il se rejattait lui même ,je décidais de le laisser avec sa ranqueure:

-Tu est stupide tu crois que tu est un monstre mais ce n'est pas la le problème tu n'accepte pas t'a vrai nature tu est ce que tu est ,tu as raison je ferait mieux de t'oublié ,tu n'est qu'un monstre ,oui un monstre ,un monstre comme nous tous !!!Ma voix était beaucoup trop forte ,beaucoup plus argneuse que je ne l'aurais voulu ,mes derniers mots résonère avec une tel tristesse que les larmes mon montère au yeux .

Je lui tournais le dos et me glissait sous mes couvertures ,je ne sait pas comment il allait réagir mais après ce que je lui avait dit ,il risquait de mal le prendre ,mais je ne voulais pas le blaisser mais ,je ne pu l'expliquer ,mon coté animal avait pris le dessus...Je me mit sous les couverture en faisant attention que mes pied ne le touche pas ,je me mit a pleuré...

Je n'ai pas compris tout de suite ce qui c'était passé. Brisé. C'était tout ce que j'étais.
Elle était sous les couvertures et pleurais.
J'étais un monstre? Je m'étais toujours accroché à mon humanité... inutile. Elle avait raison... tous des monstres.
Pourquoi n'avais-je donc pas le droit de mourir?
Je sortis, comme un zombi, brisé, dépourvus de sentiments, juste le coeur en milles morceaux et des larmes coulant sur mes joues.
Le froid de l'extérieur me mordit mes joues humides.
Je fermais la porte. Le loup en moi hurlais, j'hurlais devant la lune.
Laissant l'instinct sauvage du loup je me laisser courir dans les bois m'arrêtant de temps en temps, répondants au chant des loups du zoo qui chantaient leur tristesses avec moi.
Je m'endormis, laissant le loup en moi prendre le dessus.
Quand je me réveillais une odeur qui m'étais connu me releva le coeur.
Je me levais, j'avais du sang sur les mains, la bouche et le torse. Mes vêtements étaient en lambeaux.
Observant la scène je vit deux lapins déchiquetés et quelques oiseaux déplumés.
*Monstre? Si seulement... si seulement je n'étais plus humain...*
J'hurlais. Et c'était un hurlement humain.
Je reconnus les lieux, pas très loin de la maison.
Je me dépêchais de rentrer. Arriver dans la cuisine je me lavais les mains, le torse et la bouche. Même propre l'odeur de sang me collais à la peau. J'hésitais... puis je rentrais dans ma chambre...
Ma voix n'était qu'un pauvre gémissement :

-Malicia...

Je me reveillais dans une chambre ,était-ce un rêve ou la réalitée ,la réalitée j'en était certaine malheureusement .
Je regardais par la fenêtre ,il faisait encore nuit ,la fôret était calme mais au loin un cri s'élevait et j'entendais la souffrance,oui je l'entendais ,c'était un cri bestial mais tellement humain et je savais de qui il provenais ...Stefan.
Je lui avais fait du mal et je m'enétait rendue compte ,tout as coup un autre cri retentis et je fut prise d'une violente nausée,je courue dans la salle de bain et vomis ,je vomis toutes mes tripes ,je n'en pouvais plus je voulais m'excusée lui dire ce que je ressentait...

Mais je me demandais ce que je resentais pour lui mais avant cela il me fallait une douche.

Je fouillais dans un placard et trouvait une serviette ,puis je me désabillais et je commencais à me doucher ,l'eau chaude sur ma peau me faisait un bien fou ,je commencais a me détendre quand j'entendis un bruit venant de la cuisine ,c'était lui il venait de rentrer ...J'éteignis la douche et m'enroulais dans la serviette.

-Malicia...

J'ouviris doucement la porte ,et une odeur de sang envaie mes narines ...Je l'observais il était tout décoiffé et ses oreille était encore la c'était bien lui que j'avais entendue plus tôt ,je ne savais plus quoi dire et je me sentais plutot génée dans ma légère tenue en parlant de légère tenue ,il ne restait plus grand chose de son t-shirt .Sur son torse nu et musclé il y vait un tatouage noir qui merrait en valeur la musculature de son torse.

Je ne pouvais plus parler ..Mes mots restère coicée dans ma gorge :

-Dé..dé..dé..so..lé..

Mes oreilles pivotèrent vers la jeune fille. Je rougit en apercevant le début de sa poitrine que la serviette ne cachait pas, ses cuisses nues et délicates.
Je déglutis. Elle s'excusa. Tout ce que j'avais réussis à faire à ce moment là, c'est de m'approcher.
L'odeur du sang me collait à la peau et cela me dérangeais. Mes oreilles étaient fixés en direction de Malicia.
Ses cheveux humides donnaient un air exotique à la scène.
Ma voix étais cassée par l'émotion. Les émotions. Tristesse, peur, excitation.

-C'est à moi de m'excuser.

J'étais enfin devant elle. J'ouvris mes bras musclés et je la pris contre mon torse.
Je sentais sa poitrine pressé contre mon torse et ses jambes nues contre les miennes.
Un grognement sourd montât et fit vibrer mon corps. Je baissai la tête et sentis l'odeur de son cou. Mes narines frémirent.
Mon corps frémissait.
Mon coeur n'avait jamais battus aussi fort.
*N'oublies pas pourquoi tu es partit d'ici... Oui, mais elle n'est pas partie...*
Un autre grognement me fis frémir. Ma langue sortit de ma bouche et parcourus le cou de la femme coyote.

-Non!

Je la tenais à bout de bras. Tête basse, haletant comme un chien qui venait de pourchasser un lièvre.
Je souris, triste.

-Je ne peux pas faire ça...

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