Esprit démon

♫ ~ Quand il s'agit de l'Idée ~

Dans notre monde, une jeune fille voix beaucoup de ses proches mourir, lorsqu'un jour, elle voit un jeune homme d'un beauté étincelante, tuer son amour secret auquel elle allait dévoiler ses sentiments. Depuis ce jour tout n'est plus pareil et elle découvre que beaucoup d'être humains ont des anges gardiens, ou plutôt, des démons gardiens et qu'elle est la convoitise de beaucoup de mauvais démons qui rêvent de la dévorer.



♫ ~ Quand il s'agit du Projet ~

La jeune fille est une personne ordinaire mais à un corps astral au dessus de la moyenne et cela attire les démons que l'ont nomme "les dévoreurs". Elle va connaître beaucoup de meurtres autour d'elle.
Finalement, un jeune homme va la soutenir et l'aider dans cette vie un peu étrange. Elle va tomber amoureuse et va vouloir dévoiler ses sentiments. C'est alors qu'un beau jeune homme débarque et tue la personne qu'aimait notre héroïne.
Elle tombe et se réveille à l'hôpital. Pendant une semaine elle ne parle pas et cela inquiète sa famille.
Un soir, le jeune garçon viens la voir.
Il arrive tant bien que mal à lui expliquer que des démons veulent la tuer. Au départ c'était facile de les tuer loin d'elle. Mais au fur et à mesure des années les dévoreurs ont réussis à prendre formes humaine et tout les meurtres donc la jeune fille se croyais coupable ne sont que protection et défense.
Quelques temps après elle retourne au lycée et découvre le jeune démon-ange-gardien, que l'ont nomme les "Ailes pourpres".
Un combat acharné va s'ensuivre pour la liberté de la jeune fille.
Malgré cela, son aile pourpre ne sera pas à la hauteur de l'ennemi qu'ils rencontrerons. Elle seras alors obligée de passer un pacte avec son aile pourpre. Un pacte qui la marqueras... à vie.


♫ ~ Quand il s'agit du But ~

Créer une trilogie de trois livres (sans déc') que j'essaierais de faire court.
Mon but est de finir au moins le premier tome et de le faire auto éditer.
En fonction de son succès, je ferais sûrement le deuxième tome.
Les tarifs serons le plus bas possibles, je ne pense pas me faire de marges égocentriques comme beaucoup de commerces.
Si vous le prenez ils seras aux pris éditeur et non commercial.
N'hésitez pas à poster votre avis.
Merci.
Un autre but : Finir au moins un livre dans ma vie. Le faire accepter dans mon CDI. Le faire connaître. Pouvoir enfin dire : j'ai écris un livre et ça à plus aux gens!


♫ ~ Quand il s'agit du Brouillon ~



♫ ~ Quand il s'agit des Personnages ~

Nom : Alexandra Lalouve, héroïne - 17ans
Corps astral : Plus grand que la moyenne.
Caractère : Expansive - Consciencieuse - Réaliste - Dynamique - Conformiste - Enthousiaste - Curieuse - Impulsive - Brouillon - Persévérante - Tolérante - Autoritaire - Énergique - Rêveuse - Pas attiré par les responsabilités - Timide - Calme - Placide - Sociable - Travailleuse - Rapide - Modeste - Pas sûre d’elle - Méfiante envers les autres - Impatiente - Prudente.
Physique : à définir

Nom : Anthony, amour secret de Lalouve - 19ans
Corps astral : Néant.
Caractère : à définir
Physique : à définir

Nom : Daniel, Aile pourpre de Lalouve - âge inconnus 260ans
Corps astral : Dépend de l'énergie donnée par Lalouve, généralement frôle le néant.
Caractère : à définir
Physique : à définir

Nom : Julie, soeur à Lalouve - 12ans
Corps astral : Petit.
Caractère : à définir
Physique : à définir

Nom : Sabrina et Audrey, jumelles et Ailes écarlates à Daniel - âge inconnus 1658ans
Corps astral : Grand.
Caractère : à définir
Physique : à définir

Nom : Marie - 16ans
Corps astral : Normale.
Caractère : Folle, hyperactive,
Physique : Cheveux blonds.

Nom : Yuki (soeur de Kyo) - 17ans
Corps astral : Normale.
Caractère : à définir
Physique : Cheveux noirs.

Nom : Kyo (frère à Yuki) - 18ans
Corps astral : Un peu plus que la moyenne.
Caractère : à définir
Physique : Cheveux noirs.

Nom : Luke - 17ans
Corps astral : Sous la moyenne.
Caractère : à définir
Physique : Cheveux bruns.


Aide à l'écriture (ne pas prendre en compte SVP)
- Expansif (tourné vers les autres) ou Introverti (secret, plus renfermé) ?
- Consciencieux ou Etourdi ?
- Idéaliste ou Réaliste ?
- Rebelle ou Docile (qui se laisse facile conduire) ?
- Dynamique ou Nonchalant (Cool...) ?
- Original ou Conformiste ?
- Enthousiaste (qui s'enflamme vite) ou Indifférent ?
- Serviable ou Perso ?
- Curieux ou Blasé (vite saoulé) ?
- Impulsif ou Réfléchi ?
- Méthodique ou Brouillon ?
- Persévérant ou Vite découragé ?
-Tolérant ou Intolérant ?
- Autoritaire ou Soumis ?
- Energique ou Passif ?
- Attentif ou Rêveur ?
- Attiré par les responsabilités ou Pas attiré par les responsabilités ?
- Audacieux ou Timide ?
- Calme ou Remuant ?
- Coléreux (vous montez vite) ou Placide (vous encaissez sans pb) ?
- Sociable ou Solitaire ?
- Solidaire (soucieux d'aider les autres) ou Individualiste (moi d'abord) ?
- Travailleur (le boulot ne vous fait pas peur) ou Plutôt paresseux (c'est dur de s'y mettre) ?
- Rapide ou Lent ?
- Ambitieux ou Modeste ?
- Sûr(e) de vous ou Pas sûr(e) de vous ?
- Confiant dans les autres ou Méfiant ?
- Patient ou Impatient ?
- Casse-cou ou Prudent ?

Sommaire

♫ ~ Chapitre 1: ~ Pourquoi moi?
Page 1
♫ ~ Chapitre 2: ~ Ainsi va la vie.
Page 1
♫ ~ Chapitre 3: ~ Je sombre... !
Page 2



Nombres de pages actuellement : 17/40minimum

♫ ~ Chapitre 1: ~ Pourquoi moi?

Sombre journée simplement pluvieuse. Je regardais les gens qui m'entouraient. Tous de noir vêtus, les hommes étaient crispés et les femmes cachaient leurs larmes derrière leurs mouchoirs. J'étais une intruse sans l'être. J'étais en noir oui. J'étais aussi triste, mais je ne la connaissais pas assez pour pleurer vraiment.
Le médecin avait dit qu'il ne savais pas de quoi elle était morte. Et aujourd'hui j'étais venue à son enterrement.
Cette jeune fille de quatorze ans avait été en stage avec moi à la bibliothèque et je l'avais beaucoup apprécié. Nous nous étions revus plusieurs fois. Jusqu'au jour où sa mère m'appelle pour me dire qu'elle est morte. Sans plus d'explication. J'ai réussis à venir tout de même à son enterrement.
Resserrant mon manteau sur moi je contemplais les dernières pelés de terres.
Je l'avais connue brièvement, il y a deux mois environs. Malgré cela, sa mort m'a profondément blessé.
Je n'étais pas de la famille, mais je fut une des dernières à partir. Mes yeux observaient les pétales des roses qui se faisaient balayer par le vent et qui se recouvraient de gouttes de pluies.
Il pleut toujours les jours de grand chagrin.
Quand je sortit de mes songes j'observais les alentours. Mes vêtements et mes cheveux étaient trempées. Je ne voyais personne, mis à part une forme noire penchée sur la tombe.
Quand cette forme réagis je sursautais. C'était vivant. J'avais vu et entendus tellement la mort que j'en devenais folle.
Quand il tournas sa face pleurante vers moi, je su par ses traits, qu'il était le frère de mon ancienne amie.
Je regardais l'horizon. Un jour, oui, un jour, nous reverrons le soleil briller.
Dans ces moment là on se dit toujours : "pourquoi moi?" alors qu'on est jamais les seuls à souffrir...

Juste MaGniFiQue
Tu écris super bien =) et sa a l'air stylé! Continue comme sa!

Ouai, on t'encourage super fort,
Vu le début, l'histoire à l'air super,
le texte bien fluide !!!!!
allez Elia

♫ ~ Chapitre 2: ~ Ainsi va la vie.

La sonnerie me donnais des coups de marteaux à la tête. Avec ma migraine, la sonnerie de l'interclasse me brisait les tympans.
Je me massais les tympans, suivis des yeux et de l'arrête du nez.
L'enterrement d'hier soir m'avait détruite et le simple souvenirs du cercueil noir qui se laissait ensevelir de la terre qui absorbera son énergie.
Je frissonnais. Le psychologue qui me suivait m'avait fait prendre des médicaments pour calmer mes crises d'angoisses. En quelques mois je n'ai le souvenirs que de morts, de noir et d'enterrements.
Je levais la tête et envoya toute mes affaires dans mon sac.
C'est alors qu'une voix claire retentit quand je laissais le professeur refermer la porte derrière moi :

- Alexandra! Hey! ALEXANDRA!

Une petite blonde courrait vers moi suivie de deux garçons et une deuxième fille, aux cheveux noirs cette fois.
Cette dernière essayais de retenir en vain les cris de la blonde.
Finalement je dis en me massant la tempe droite :

-Marie, s'il te plaît arrête j'ai mal au crâne!

Elle me lançais une moue un peu désolée. Je lui souris et lui dit que ce n'étais pas grave. Bien que ça l'étais.
La fille aux cheveux noirs qui se nommais Yuki arrivait enfin devant moi avec les deux autres garçons : Luke et Kyo, le dernier étant le frère à Yuki.
J'observais derrière le petit groupe et fronçais les sourcils. Quelqu'un manquait à l'appel.

-Où est Élisabeth?

Un moment de silence. Les deux garçon se regardaient et les deux filles baissèrent la tête. J'avais compris, comme tout le monde ce qui l'empêchais de venir, mais j'attendais la réponse, ayant peur qu'elle ne soit plus grave que je ne me l'imaginais. Ce fut Kyo qui me répondit de sa voix grave :

-Elle est malade, elle viendras demain.

Je l'observais, soupirais et haussais les épaules. Ce n'était pas la première fois. Depuis que son copain est mort, il y a trois mois, elle ne venait que rarement. C'était pourtant une gentille fille sérieuse et discipliné.
Ces temps ci, j'avais l'impression d'attirer la mort. Bien que j'essaie de paraître neutre, tout ces événements m'angoissent et je sent à chaque fois mon cœur et mes entrailles compresser par une force plus forte que moi.
J'observais le couloir et, au loin, je vis la pionne venir vers nous. Comme d'habitude elle faisais son travail et allait nous demander de sortir. J'avançais, entraînant les autres sans pour entendre l'assistante d'éducation crier derrière nous :

-Sortez s'il vous plaît!

Avec un soupir je poussais la porte assez grande et avec assez de force pour que ceux derrière moi puissent passer.
Ce n'est pas que je n'aimais pas les surveillants, c'est juste que, quand bien même nous exécutions leurs ordres, ils nous les criaient dessus quand même. Je trouvais cela arrogant et au fur et à mesure que les élèves se rebellaient contre cette injustice, plus ils se trouvaient forts.
Cette année, même les femmes de ménages faisaient la loi. Elle ne devrais avoir aucun droit sur nous. Nous respections leur travail et nous leurs disions toujours bonjour dans les couloirs.
Le monde changeais beaucoup trop à mon goût. Encore, si cela étais positif je comprendrais.
Laissons tout cela de côté. Marie m'attrapa le bras et me montrait du menton un jeune homme aux cheveux blonds ébouriffés avec un style un peu surfeur avec son bronzage.
Il étais accompagné des filles populaires qui gémissait des : "mes condoléances" qui sonnaient faux. En tout cas à mes oreilles. Elles n'ont pas été affecté, nous si.
Et avant que Marie ne puisse dire quoi que ce soit de déplacer je lui dit :

-C'est le frère de mon amie, celle qui a été enterré hier soir.

Mon cœur se serra. Yuki me pris par les épaules et me sortit un bonbon. Elle disais toujours que le meilleur remède était la nourriture. Je le pris même si je n'en avais pas envie, de toute façon, elle m'aurait obliger à le prendre. Elle en donnait à tout le monde lorsque Marie pris la parole :

-Tu crois que je pourrais le réconforter?

Soupir. Marie était une fille hyperactive et qui tombait amoureuse hyper vite. J'avais sûrement un peu trop de jugement aujourd'hui. Je m'étais prise à pensait du mal du comportement des pions et maintenant de mon amie. Il fallait que je me repose. Moi qui n'appréciais pas les gens qui jugent, je me contredit. M'enfin, quelque fois ça fait du bien.
Je cherchait dans mon sac. Je me plaignais qu'il était en bordel, comme d'hab' quoi. Je suis toujours la dernière à sortir et je me dépêche.
Je réussis à trouver tant bien que mal 30cents et allais me chercher un petit pain. Bien que j'avais manger ce matin, mon ventre criait famine.
Quand je revînt, Luke me dis que Marie était allée voir le frère de mon amie de stage et qu'ils étaient allés à l'infirmerie.
Je soupirais encore une fois. Cette fille étais sûrement irrécupérable mais pas dénué d'intelligence, et c'est cela qui la sauvera.
Je regardais ma montre. Nous avions encore du temps avant que ça sonne. Je demandais des nouvelles de tout le monde, ce qu'ils avaient fait hier soir.
Nous parlions ensuite des devoirs reçus ce matin et comment on allait s'organiser. Marie, étant la tête du groupe, nous invitait souvent chez elle faire les devoirs, mais à ce moment là, elle semblait plus occupée à aider un jeune adolescent assez beau que ses vieux amis de lycée.
Kyo me regardait de ses yeux noisettes. Il devait se demander comment j'allais, mais tout le monde ici savais que je n'aimais pas ce genre de questions après un enterrement. La réponse, évidente, ne sortira jamais de ma bouche et les gens se contentais d'un petit "oui".
Sous son regard insistant j'allais lui dire que ça allait, qu'il n'avait pas à s'en faire. Et... la sonnerie retentis. Prenant un petit sourire je pensait que l'expression que si l'expression "sauvé par le gong" n'existait pas déjà, je l'aurait inventer.
Réajustant mon sac je regardait le ciel avant de rentrer dans le bâtiment.
La pluie allait de nouveau tomber ce soir. J'espérais que l'annonce d'un orage ne soit que le fruit de mon imagination...
Marie arriva en même temps que moi devant la porte n°305. Nous attendions dans le calme le professeur. Entre nous ce fut un silence le plus total. Tout le monde savais que cela signifiais rien de bon? C'est pourquoi Kyo fis une tentative pour briser le silence :

-Hum... vous en avez pensez quoi du film qu'on a regardé chez moi la dernière fois? Alex', Marie?

Il savais que nous avions toute deux aimer. Marie resta pensive et posais la question qu'elle attentais sûrement :

-Alors? Avec le garçon?

Elle sortit de ses songes et rougis. Elle fronça les sourcils et me répondit d'une voix tintée de colère que je savais qu'elle ne portais pas sur moi :

-Il s'appelle Anthony. Il te connaît bien, sa sœur parlait souvent de toi, il t'a vu entrer chez son psy et lui a demandé si tu avais des rendez vous avec ce dernier. Et bien sûr il se trouve que vous fréquentez le même psychologue. Super! C'est romantique tiens!

Cette fois la colère était fixée sur moi et je resserrais ma veste sur moi. Je voyais déjà la crise de Marie.
Les autres ne disaient rien, généralement cela était passagers, et de toute façon on ne pouvais que accentuer sa colère, mieux valais ne rien dire.

-Il m'a posé plein de questions sur toi. Des questions étranges, comme : "Elle a de la famille?" "Elle crois aux ange gardiens?" "Elle pressent des choses?" On aurait dit qu'il cherchait à trouver une sorcière ou je ne sais pas quoi en toi. J'ai commencé à avoir peur puis il m'a demander si t'avais un copain. Là j'ai craqué et l'infirmière m'a dit de partir.

Je gardait mon regard fixé sur la porte d'où sortirais, d'une seconde à l'autre notre professeur. Les sourcils légèrement froncés je cherchait des explications à ses questions pas très communes à un garçon qui cherche des informations sur une fille, et ce qui me faisait le plus bizarre était que c'était moi cette fille.
La seule explication est qu'il a été très affecté par la mort de sa sœur et qu'il a pété un peu les plombs et qu'il cherchait un appuis et voulais savoir, peut être, les croyances de son appuis. Si il y a une religion contradictoire je suppose, cela ne l'aiderait en rien. Voilà où en étais ma conclusion.
La porte s'ouvrit et Mlle Marion Stamler sortit sa clefs et marchait à vive allure dans notre direction.
Je souris et dit aux groupe :

-Ce soir, shopping!

Au grand soulagement de tous, Marie souris et fis exploser sa joie en criant un "Oui" dynamique. Le professeur plus strict que la moyenne dans cet école lui fit la remarque qu'une jeune fille devait se comporter sagement et savoir cacher ses émotions. Subtilité et féminité.
Elle était étrange ce professeur mais ses cours étaient clairs et cela me suffisais.



La sonnerie sonnait pendant que les élèves se précipitaient dehors. Étant assez lente, je savais que mes amis ne m’attendraient pas et seraient déjà sur le chemin du retour quand je passerais les portes du lycée.
J’observais le ciel. Quelques gouttelettes tombaient déjà. Je rangeais le livre que je venait d’emprunter au CDI. M.Bolivre était gentil et savais que j’aimais lire, il me conseillais souvent de bons livres que j’empruntais pour m’occuper le soir.
Occupée par mes pensées, je n’avait pas tout de suite entendus mon portable qui sonnait. Je le sortit de ma poche. Trop tard, on avait raccroché. Regardant le journal d’appel je vis que le numéro était celui la maison. Inquiète je rappelais.

-Allô? Alexandra?

-Non c’est la mère noël.

J’entendis à l’autre bout du fil un soupire. Je ne cherchais pas spécialement à être drôle et quand bien même je l’aurais voulus, ma sœur ne riais jamais à mes blagues.

-Maman veux que tu aille faire des courses, faut que tu prennes….



Des cordes, voilà ce qui descendais du ciel ; des cordes d’eau glacés accompagnés de bourrasques. C’est avec plaisir que j’ouvrit à la volée la porte de chez moi et la ferma rapidement derrière moi.
Je soufflais un bon coup. La colère me repris quand je repensais à mes « courses ».



-Tu viens avec moi Marie?

La concernée me fixais étrangement et murmurât un petit « oui ». Nous avancions à bon train pour rentrer le plus vite possible quand elle s’exclama :

-Il est là! Désolé j’y vais Alexandra, à demain.

Sous le choc je la regardais courir vers un garçon, sûrement plus âgé qu'elle. Cette dernière le pris par le bras et pris le chemin de chez elle.
J’étais là, seule, sous la pluie.



Encore un peu en colère, je murmurais que Marie exagérais avec les garçon et qu'elle allais avoir affaire à moi demain.
Je déposais les courses puis allât dans ma chambre déposer mes affaires.
Un sourire aux lèvre je fixais la cage au coin de ma chambre. Une petite volière où gambadaient - ou dormaient - cinq petites rates et trois petits rats. Séparés évidement. Je vérifiais leurs gamelles et leurs biberons.
Souriante je retournais dans la cuisine pour ranger les affaires.
Je laissais les cordons bleus sortis et en fis cuire quelques uns. Mon père ne mangerais pas ce soir, il était en plein sur un bouquin et il était à fond dedans, je l’avait vu en allant dans ma chambre.
A force de le voir, on sait quand il est en plein dans un livre. C’est comme s’il vivait une aventure et qu'en l’écrivant, il la vivait. Oui, il m’expliquait cela comme ça. N’ayant jamais essayer, je ne pouvais confirmer ses dires.



Le chemin était humide et le soleil caressait mes joues. Ce temps me rendais toujours nostalgique, allez savoir pourquoi. Je réajustais mon sac sur mon épaule.
Avec toute ses catastrophes, la vie continuait, j’allais en cours et travaillais.
Je cherchais des yeux mes amis pour pouvoir commencer la journée. Au loin je remarquais la forme d’Anthony, le frère de mon ancienne amie.
Lui, plus que quiconque, avait souffert de la mort de sa sœur.
Je levais les yeux au ciel. C’est alors que j’entendis Marie m’appeler. Je la voyais près du portail aux côtés d’Élisabeth. Cette dernière avait l’air fatiguée. J’étais triste pour elle mais je ne pouvais rien faire, elle c’étais enfermée dans une coquille et malgré le fait que nous ayons fait tout ce qui étais en notre pouvoirs, ni moi, ni Marie, ni Yuki, ni personne d’autre n’avions réussis à lui rendre le sourire
De nouveau j’observais Anthony. Puis, appelée par le devoir, je trottinais vers Marie et notre amie. Car comme ont dit : Ainsi va la vie…

Yuki par ce qu'il me fallais un nom feminin japonais et Kyo par ce que j'adore ce nom.
Je n'ai penser à aucun moment à ces deux personnages.

Ce matin : MAJ du chapitre 2

Ce matin 11h : MAJ du chap.2

La suiiiite yeeeaaah !!!

Ce soir 21h45 : MAJ et FIN du chapitre 2 !

♫ ~ Chapitre 3: ~ Je sombre...!

Encore une journée de passée au lycée. Quand je suis arrivée chez moi, je découvris ma sœur devant la Télévision, le teint pâle. Elle avait baisser le son. Pour pouvoir entendre, je me mis à côté d’elle. Même si je n’entendais presque rien je savais de quoi ils parlaient.
Aux informations, des images du professeur de ma sœur presque méconnaissable passaient.
Je pris ma petite sœur dans les bras et pleurais avec elle. Moi aussi je l’avait eu comme prof et il était sympathique. Mais ce qui me faisait le plus mal était que ma sœur avait vu ces images choquantes…
Je regardais son visage. Horreur se lisait dans ses yeux qui fixaient le vide et elle était pâle. J'éteignis la télévision et me levais, la mettant correctement installé sur la canapé en mode allongé.
-Je vais te chercher un verre d'eau.
J'essuyais une larme sur la joue de ma petite soeur. La cuisine me paraissais bien loin. Je marchait lentement, et, arrivée dans le couloir je fut prise de vertiges.
Toutes ces morts... le parquet dansait sous mes pieds, je commençais à étouffer. Ma soeur avais besoin de moi, et j'avais besoin d'aide. Rien ne sortait de ma bouche. L'air entrais avec force dans mes poumons, mais je ne le sentais pas, je n'avais plus d'air.
A l'aide!... mais personne ne pouvais m'entendre et je n'entendais pas ma soeur sangloter.
Je frappais mon poing sur le sol et déjà des étoiles clignotaient devant mes yeux. Je n'ai eu que le temps de voir la silhouette de ma mère courir en ma direction avant de tomber profondément dans le noir intense et froid que me rappelais tant la mort...
Il ne fallait pas, je ne voulais pas sentir quelque chose similaire à la mort, non! Il fallait que ce mal s’arrête!
Plus je me débattait plus je recevais des coups de masses sur le crâne. Je voulait hurler, mais il n’y avait que e noir, le noir et le froid. Je sentais des mains me bouger, me transporter, je voulait me débattre mais seul mon esprit tremblais.
Je n’en pouvais plus, je ne supportais plus de me battre. Je vais mourir. Mon père, un homme qui venait souvent à la bibliothèque, l’autre stagiaire et mon ancien professeurs, ils sont tous mort cette année…

Je… je sentais mon cœur battre. Un poids pesais sur moi, je respirais normalement. Essayant de bouger, je sentis mes muscles se contracter. Puis j’ouvrit les yeux, un éclair de lumière coula sous mes paupières.
La panique me pris. Où étais-je? Voulant me relever trop rapidement j’eu le tournis. En me frottant le tympans je regardais la chambre où je me trouvais. Tout étais de blanc, je reconnus alors à l’allure de la pièce et de l’odeur de désinfectant que je devait être à l’hôpital. Qu’est-ce que j’y faisais? Dans la crainte de me retrouver comme dans les films où l’un de mes cauchemar je vérifiais que mon corps n’était pas rattaché à une machine ou un produit étrange.
Finalement je me dit que je disjonctais et qu’il fallait que je retourne sur terre. Soupirant j’entendis la porte s’ouvrir doucement. Je tant un œil je vis ma mère entrer sans bruit. Quand elle me vis réveillée elle appela une infirmière qui arriva aussitôt, souriante, à mon chevet.
Elle m’examina rapidement et dit à ma mère que ma perte de connaissance devait être lié au stress.
Sans en écouter d’avantage je fermais les yeux pour faire le point. Ma vie? On ne peux pas dire qu’elle a été très anormale, au contraire. J’étais une très bonne élève durant toute mes périodes scolaire, enfin, sauf en cm2 où mes notes avaient régresser. C’est à cette époque que je commençais à m’affirmer et ça ne plaisait pas à mon professeur que je laisse de côté la gentille fille qui prenait tout dans la figure sans rien dire. A cette période je m’étais rendus compte de toute l’injustice qui pesais sur moi.
Au collège je m’étais fait pleins d’amis, dont Elisabeth qui, en ce temps là, était pleine d’énergie. Il y avait aussi Yuki, Marie et Luke. Je n’ai connu Kyo qu’en troisième, et j’avoue que je suis sortie avec lui un petit moment, mais nous étions plus des amis. Je vivais une vie d’étude et de joie, que je vis encore.
Mais il y a eu toute ses morts. Il y en avait beaucoup ses temps ci. Enfin, il y en a chaque jours, mais c’était des personnes de plus en plus des personnes proches de moi et je commence à me demander si c’est de ma faute…
C’est alors que j’entendis des pas s’arrêter près de mon lit. Une petite voix m’appelait. J’ouvris les yeux et je vis ma petite sœur. Je lui souris.
-Désolé, murmurais-je.
M’étais-je vraiment réveillée? Ou allais-je encore sombrer dans ce noir qu’est la deuxième facette de la vie, son côté complémentaire? Seul l’avenir me le dira…
Tandis que l’infirmière finissait de vérifier que j’allais bien, ma petite sœur regardais les dessins animés sur la télévision. Ma mère souriait à l ’infirmière qui sortit de ma chambre quelques secondes après.
-Tu pourras sortir demain mais nous voulons que tu te repose, tu subit trop de stress ses temps ci, m’annonça ma mère.
-Je ne voit pas où est le stress, tu va bien à la maison, j’ai des amis et des notes pas trop mauvaises.
Son visage se ferma presque aussitôt. Entre nous trois, je pense que c’est ma mère qui a été le plus affecté par la mort de mon père, même si nous l’aimions et que nous étions ses enfants, elle était sa femme. Je pense que c’est un lien plus fort, enfin… je pensais.
-Tu voit très bien de quoi je parle Alexandra. Tu m’a fais peur, je pense que tu devrais te reposer. Tu resteras à la maison tant que sa n’ira pas mieux. Nous traversons une passe difficile, et toi surtout, à ton âge, aller à des enterrement.
Elle soupira et ferma les yeux, comme ce ça la protégeais de ses sombres paroles. Puis elle continua :
- Tu a besoin de vivre, de t’amuser avec tes amies. Je sais que c’est dur, mais il faut que tu oublie un peu tout ça et que tu vive un peu plus ta vie d’ados. A 17ans on ne devrais pas rencontrer la mort…
Je me demandais si on disais la même choses aux enfants de six-huit ans qui perdaient leurs parents. Il est vrai que dans notre famille on vit et on ne se pose pas de questions, mais il faut bien qu’un jour quelqu’un se mette face à la mort. Je ne parle pas de suicide, mais comment vivre sans avoir conscience de la mort qui nous entoure? Car la mort entoure la vie comme la vie entoure la mort.
A force de penser ma tête me faisais mal. Mon regard tournas vers la fenêtre qui m’offrais le ciel noir parsemé d’étoiles. C’était dans ce ciel que mon esprit s’évadais.
Quelqu’un toqua à la porte de ma chambre. Sortant de mes songes je vis l’infirmière entrer. Elle demanda à ma mère si elle voulait rester avec moi cette nuit. Cette dernière dit que ce n’étais pas la peine, qu’elle reviendrais me chercher demain. C’étais ma sœur par contre, qui voulait rester avec moi. Ce fut d’abord avec des rires puis avec de la colère que ce termina cette affaire. A contre cœur ma sœur rentrais à la maison avec ma mère.
J’observais de nouveau la fenêtre. Et c’est en laissant s’envoler mes problème que et le sommeil me pris et je souris enfin à une nuit sans cauchemars, sans problèmes mais d‘espoir et de couleurs.

Yahou trop génial je veux la sweeeeeeet!!!

(attention lors de ta dernière phrase tu as écrit 'colle' à la place de 'comme') xP

MAJ rapide du chapitre 3

La suiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!! Mdr , encore désolé pour ce midi,
mais une blonde, ça oublis tellement de trucs ^^^

Je promet de finir ce bouquin ces vacances!
Mais vous n'aurez pas la fin sur le forum je vous mettrais encore des chapitres ne vous inquiétez pas ^^ .

♫ ~ Chapitre 4: ~ Un nouvel espoir?

Le soleil sur ma peau me fis du bien, et c’est aux côtés de ma mère que je sortit de l’hôpital. Un soupir de satisfaction accompagna ma descente des marches du bâtiment immaculé.
Ma mère me souris et me dit qu’elle allais chercher la voiture. Je la regardais s’al et tourner derrière le bâtiment.
C’est alors que je vis Anthony, le frère de ma défunte amie. Ce dernier me vit et s’approcha de moi. A son air je me demandais s’il m’attendais ou s’il passait par là par hasard.
Les sourcils froncés à cause du soleil je l’accueillis avec un bonjour un peu timide.
Il était devant moi et réfléchis à comment formuler sa phrase. Ce fut avec une voix grave qu’il me dit :
-Je… j’aimerais te parler de ma sœur, Est-ce qu’on peux aller discuter quelque part?
C’est à ce moment que ma mère arriva dans la voiture. Elle observa Anthony qui se présenta et demanda à ma mère si nous pouvions aller quelque part discuter de sa sœur.
Ma mère savait très bien que la mort de la dite sœur était l’une des causes de ma perte de connaissance et elle dit au jeune homme que je devais d’abord prendre du repos et qu’elle verrait demain.
Sur ce j’ouvris la portière, souris à Anthony et lui dit au revoir. Fatiguée, je m’écroulais sur le siège passagers en soupirant.
-Je pense que ça me ferais du bien de parler un peu de tout ça. Eh puis… nous avons tout deux été touchés par sa mort… on peux peut être, s’entre aider.
-Je ne sais pas si c’est ce qui a de mieux à faire mais c’est à toi de décider.
Je restais silencieuse et observait la route. Nous n’étions pas loin de la maison mais je pensais que pour une fois, la route me semblais longue.
-Tu te reposera, je te ferais un mot pour les cours.
-Tu veux que je reste combien de temps à la maison?
Ma mère me regarda en réfléchissant. Soit elle avait pris ma question pour quelqu’un qui allait en profiter soit elle réfléchissait à combien de jours elle estimait que je devais rester à la maison.
-Pour le reste de la semaine.
Je la regardait d’un air de dire « mais sa va pas ?». Les vacances serons là dans quinze jours et je n’allais pas rester aussi longtemps sans rien faire!
-C’est trop long! Je vais m’ennuyer à mort à la maison et je ne m’occuperais pas de Julie, elle est assez grande pour m’aider à la maison.
Ma mère rit. Elle ne rajouta rien car elle venait de se garer devant la maison e quelque chose semblait la préoccuper. Pas négativement, plutôt, comme si elle attendais un évènement spécial.
Toujours en silence je grimpais les marches de chez moi et ouvrit la porte. Je me demandais pourquoi ma mère semblait soudain occuper par les fleures qu’on avait planté l’année dernière.
C’est alors, qu’à peine la porte ouverte, une paire de bras m’enlaça. Au cris de joie je connaissait déjà l’auteur de ce câlin un peu brutal.
-Marie tu m’étouffe…
La laissant me lâcher je vis derrière elle le visage joyeux de Yuki, celui de Kyo et de Luke et bien évidemment, celui sombre et fermé d’Elisabeth.
Je leurs souris mais mon regard se posa sur Elisabeth. J’étais triste pour elle. Depuis que son amoureux était mort, elle semblait comme une âme vagabondant sur ta Terre.
Balayant le groupe je demandais :
-Vous faites quoi ici?
Ce fut la jeune Marie qui me répondit en s’écartant pour laisser passer ma mère.
-On voulait vérifier que tu allait bien et nous devons absolument planifier quelque chose pour te remonter le moral.
Je tournais le regard vers ma mère qui sortait des cookies du four.
-Tiens des cookies… tu savais que cette bande de voyous voulaient m’enlever et me faire faire des activités dès lors de mon retours?
Marie soupira et Kyo rigola. Mon humour laissait des commentaires variés je le savais déjà.
-Oui, répondit elle simplement.
-Alors pourquoi m’avoir interdit de voir Anthony?
Marie me regarda bizarrement et c’est Luke qui me demanda ce que c’était cette histoire d’ « Anthony ». Je m’expliquais brièvement. Ma mère soupira et répondit :
-Un : tes amis t’attendaient. Deux : je préfère que tu oublie un peu tout ce qui c’est passé ces derniers temps et que tu t’amuse. Trois : tu es jeune tu a le temps. Cela te va comme réponse?
Je soupirais et allais en direction de ma chambre. Les autres savaient qu’ils devaient me suivre. Puis comme dans un film je dit :
-Quel est votre plan?
C’est avec des sourires que fut accueillis ma réponse, positive, à leur tentative amicale de me faire oublier mes soucis.
J’en étais heureuse. Mais on oublie pas la mort facilement.
On dressa une liste de tout ce qu’on pouvais faire. Puis je rayais ce qui ne me disais rien et ma mère observa les dernières petites choses qui restaient.
-Une sortie cinéma me semble sympathique. Je vous imprime le programme de cette après midi.
Tout le monde se frappais main dans la main. Je souris timidement. Je devais vivre le moment présent.
C’est avec une nouvelle bouffée d’air que je me tournais vers les autres et ris.
Tous se tournèrent vers moi.
-Alexandra est de retour les amis! S’écria Marie.
Je n’avais pas remarqué qu’Elisabeth observais une forme sombre de l’autre côté de la route. Quand j’observais la fenêtre, je n’y vit que des cheveux noirs sortant du cadre de la fenêtre.
Une impression bizarre me pris et je vis Elisabeth trembler. Ça ne dura que quelques secondes, je l’oublia assez vite.
Je vivais le moment présent. Un nouvel espoir de vie tout à fait normale pour une adolescente prenait vie.




♫ ~ Chapitre 5: ~ Ange/Démons?

Nous étions tous entassés autour de la petite table devant la télévision allumée sur la chaîne musique.
De nous tous il n’y avait que Luke qui écoutait du R&B. Le programme était plein à craquer, nous étions dans l’une des périodes où il y a beaucoup de sorties de film intéressants
-Pourquoi pas le film avec les zombies? Il à l’air pas mal, proposa Elisabeth.
Tous le monde se regarda furtivement. Proposition rejetée par le reste du groupe apparemment.
-Alexandra aime le fantastique…, commença Yuki.
-Un film d’action c’est un meilleur choix, coupa Kyo pour taquiner sa sœur.
-Je pense que ce film là seras accepté par Alexandra.
Marie montrais du doigt un film mélangeant science fiction, romantisme, fantastique, sombre et espoir. Elle connaissait bien mes goûts. Je lus rapidement le résumé :
-Les anges sont envoyés pour protéger les humains des démons qui ont subitement peuplé la Terre. Malheureusement un réseau angélique s’amusait à livrer des humains à leurs sort en échange de la force démoniaque des démons. Une humaine va s’allier avec un ange et un démon pour remettre en ordre le bien et le mal.
Le résumé ne disais pas grand-chose. Nous regardâmes la bande annonce qui nous firent adopter le film.
-Adopté.
Ce fut sur ses mots provenant d’Elisabeth que nous nous donnions rendez-vous dans deux heures devant le cinéma.
Tous partirent. Tous sauf Marie.
Le silence encombrait les quatre murs de mon salon quand elle le brisa enfin :
-Tu pense que ça va aller? Je veux dire…
-Oui, la coupais-je, je vais bien et tout ira bien, je suis une dure à cuire.
Elle rit. Je venais de sortir ses propres mots. J’étais une dure à cuire, mais quand on perçais ma cuirasse, j’étais de porcelaine.

Il faisait bon dehors et je n’ai mis qu’un tee-shirt sous ma veste en cuir blanc.
Il n’y avait pas grand monde devant le cinéma. Kyo et Yuki sont arrivés quelques minutes après nous. Kyo nous offris une boisson chacun en attendant Elisabeth et Luke.
Luke arriva avec quelque quinze minutes de retard, suivit d’Elisabeth.

En sortant du cinéma, je me demandais si les anges gardiens n’étaient pas plus monstrueux que les démons. Ok il y avait des démons qui dévoraient les gens. Je pense que les anges gardiens avaient l’apparence de monstres même s’il semblaient plus humains que les démons.
Que pouvons nous vraiment dire sur les anges et les démons? Et si les démons étaient d’une apparence plus humaine que les anges?
En disant cela, je ne savais pas que je n’étais pas loin de la vérité.



♫ ~ Chapitre 6: ~ Proche?



Le rayon de soleil qui traversait la fenêtre de ma chambre s’écrasait sur l’un de mes nombreux posters.
Ma migraine s’était estompée après cette bonne nuit de sommeille. J’ouvrit mon placard et votais pour un tee-shirt simple blanc et un jeans. Ne sachant pas quel temps il ferait je mis un gilet dans mon sac de cours que je venais de vider sur mon lit.
C’est alors que mon portable vibra. Je laissais mon sac aux côtés de mon lit et pris mon portable. C’étais Yuki.
-Salut Yuki.
-Hey Alexandra, je t’appel pour prendre des nouvelles. Est-ce que ça va mieux?
Après avoir réfléchis je dit simplement :
-Ça va. Je vais voir Anthony aujourd’hui.
-Anthony?
-Le frère à Lilas, la fille avec qui j’ai fait mon stage à la bibliothèque.
-Ok. Je vais dire aux autres que tout va bien, passe une bonne journée et repose toi bien.

Chapitre 4 : terminé
Chapitre 5 : terminé
Chapitre 6 : en cours